Axe 4 - Protéger notre patrimoine naturel et culturel
Protéger les milieux et espèces naturels
Les milieux et les espèces naturels sont très vulnérables aux effets du changement climatique. Le PNACC propose différentes actions pour favoriser leur adaptation et leur résilience.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 23/12/2024 - 22h15
Talleyrand3
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
La biodiversité ce n'est pas que la vie sur le sol, c'est aussi la vie dans les sols. Un effort pédagogique est à faire sur la vie dans les sols, les symbioses entre les racines et le monde fongique, la mésofaune, leur rôle dans la qualité de l'air, les cycles de l'eau, la capacité à stocker le carbone et les polluants existants... Stopper l'artificialisation des sols (ou leur appauvrissement) et réduire les émissions de polluants et GES. Les 2 sont indissociables!
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Publié le 23/12/2024 - 11h52
damien.bourgeois1@gmail.com
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
Nous devons élargir les espaces protégés pour la biodiversité. Cela permettra de mieux comprendre comment interagissent les différentes espèces qui composent le vivant lorsque nous ne sommes pas omniprésents, étudier les adaptations en cours et les impacts du changement climatique. Nous pourrons mesurer les conséquences pour les territoires et globalement la biosphère et envisager localement, nationalement et globalement les politiques à mettre en œuvre pour renforcer la protection du vivant. Trop peu d'espaces sont laissés libres pour l'ensauvagement, c'est également indispensable pour que nous puissions réussir la transformation de nos pratiques environnementales.
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Publié le 22/12/2024 - 18h04
JY Debuire
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Nos aires protégées comme laboratoires de l'adaptation au changement climatique: oui mais à condition de réellement les protéger, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Ensuite, communiquer en direction du grand public pour convaincre de l'intérêt de protéger la biodiversité est une tâche immense mais indispensable tant les atteintes sont nombreuses (cela renvoie aussi aux questions sur le tourisme). J'ajouterai que le grand public n'est pas la seule entité à être concernée : les industriels, notamment, doivent aussi rendre compte de leurs actions. Enfin n'oublions pas que protéger la biodiversité c'est aussi protéger l'humain.
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Publié le 21/12/2024 - 20h16
DomV
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ;
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Publié le 21/12/2024 - 15h48
Hugo35
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. • Augmentation des rendements agricoles ; • Puits carbones ; • Prévention des inondations ; • Prévention de maladies vectorielles ; • Aménité environnementale directe ; • Amélioration de la qualité de l’eau . Toutes les actions présentées doivent être mises en œuvre sans tarder.
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Publié le 21/12/2024 - 14h42
Cedric
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau. Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 20/12/2024 - 17h46
E.Soncourt
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable : - Augmentation des rendements agricoles ; - Puits carbones ; - Prévention des inondations ; - Prévention de maladies vectorielles; - Aménité environnementale directe ; - Amélioration de la qualité de l’eau ; - Etc… Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser le zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 19/12/2024 - 19h51
Marie Catteau
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées
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Publié le 19/12/2024 - 18h15
Philippe.Barras
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Toutes les propositions sont à mettre en oeuvre. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. En particulier l'agriculture intensive utilisant de pesticides, ou encore l'artificialisation massive des sols.
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Publié le 18/12/2024 - 17h58
Union nationale des entreprises du paysage
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
La perte de biodiversité est notamment liée à la dégradation des habitats liée au changement climatique. Il est donc nécessaire de mieux caractériser les espèces et les habitats vulnérables pour pouvoir cibler des projets de restauration. Cela sera nécessaire pour appliquer le règlement européen de restauration de la nature. La perte de biodiversité entraine nécessairement une perte de services écosystémiques alimentant un cycle vicieux et aggravant le dérèglement climatique. La restauration de la morphologie des cours d'eau est également un enjeu à plusieurs titres : ces milieux sont des puits de carbone, la morphologie des cours d'eau et la préservation des paysages annexes est également cruciale pour la prévention des inondations et la résilience des territoires.
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