Axe 4 - Protéger notre patrimoine naturel et culturel
Protéger les milieux et espèces naturels
Les milieux et les espèces naturels sont très vulnérables aux effets du changement climatique. Le PNACC propose différentes actions pour favoriser leur adaptation et leur résilience.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 25/10/2024 - 18h55
hsion
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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Publié le 25/10/2024 - 18h33
alexandre.lucas38@laposte.net
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[Diagnostiquer] : Réaliser des diagnostics de vulnérabilité des espèces.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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Publié le 25/10/2024 - 18h27
marjlawson
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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Publié le 25/10/2024 - 18h12
bleonie78@protonmail.com
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Pourquoi restaurer les sols et stopper le cercle vicieux des intrants chimiques ? 1. L'Impact Néfaste des Intrants Chimiques L’usage intensif d’intrants chimiques (engrais et pesticides) en agriculture a des effets graves sur la biodiversité et la structure des sols. Ces produits tuent de nombreux micro-organismes vitaux, tels que bactéries, champignons, et vers de terre, qui jouent un rôle essentiel dans la fertilité et l’équilibre du sol. En détruisant cette biodiversité, le sol perd sa capacité à se régénérer naturellement et devient progressivement plus pauvre en nutriments. Ce phénomène entraîne un cercle vicieux : les sols dégradés nécessitent de plus en plus d’intrants pour maintenir des rendements agricoles. Cependant, plus on utilise de produits chimiques, plus la structure et la vie des sols se dégradent. Les plantes, affaiblies par la perte des nutriments naturels et l’appauvrissement du sol, sont alors plus vulnérables aux maladies et aux parasites, nécessitant encore plus d’intrants. Ce modèle finit par nuire autant à l’écosystème qu’à la rentabilité agricole, créant une dépendance coûteuse et insoutenable. 2. Dégradation de la Structure des Sols et Risques d’Inondations Outre la perte de biodiversité, les intrants chimiques altèrent également la structure physique des sols. Un sol sain est naturellement poreux, ce qui lui permet de capter l'eau, de la stocker et de la redistribuer vers les nappes phréatiques. Cependant, les produits chimiques perturbent cette structure et rendent le sol compact, dur et moins perméable. Un sol compacté absorbe moins d'eau et favorise le ruissellement en surface, ce qui aggrave les risques d’inondations en cas de fortes pluies. De plus, le ruissellement emporte avec lui la couche arable, riche en nutriments, vers les rivières et les plans d’eau. Cette perte de sol fertile réduit peu à peu la capacité de production agricole et appauvrit les écosystèmes aquatiques. Par ailleurs, la réduction de l’infiltration de l'eau dans le sol limite la recharge des nappes phréatiques, aggravant les périodes de sécheresse. Ainsi, la dégradation de la structure des sols crée un double problème : elle accentue les inondations et diminue les réserves en eau. Conclusion : Vers une Agriculture Régénérative Pour rompre ce cercle vicieux, il est crucial de se tourner vers une agriculture régénérative, basée sur la réduction des intrants chimiques et le renforcement de la biodiversité des sols. Des pratiques comme la rotation des cultures, l’agroforesterie, et l’utilisation de compost permettent de restaurer la fertilité, la structure et la résilience des sols. Ces actions sont indispensables pour préserver l’environnement, assurer la sécurité alimentaire et réduire les risques d’inondations et d'érosion. Restaurer les sols et stopper l’usage excessif d’intrants chimiques est essentiel pour rétablir des écosystèmes durables, protéger les ressources en eau et garantir un avenir agricole viable. Il est essentiel de communiquer aux étudiants en écoles d’agriculture l’importance de restaurer la santé des sols et de sortir du cercle vicieux des intrants chimiques. Aujourd’hui, la formation agricole est largement dominée par les industriels des produits chimiques, qui promeuvent l’utilisation d’engrais synthétiques et de pesticides. Ce monopole sur l’éducation oriente les futurs agriculteurs vers des pratiques intensives qui appauvrissent progressivement les sols, nuisent à la biodiversité et créent une dépendance coûteuse aux intrants. Madame et Monsieur Lydia et Claude Bourguignon ont 30 ans d'expérience sur ces sujets, il est temps de passer à l'action et de réparer nos erreurs, car un jour il sera trop tard.
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Publié le 25/10/2024 - 17h36
Dominique66
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
J'ai choisi restaurer et communiquer, car il n'y a plus le temps de diagnostiquer, identifier et expérimenter (et j'ai pourtant une carrière d'écologue derrière moi)
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Publié le 25/10/2024 - 17h30
nicolasf
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Le diagnostic est déjà existant, de même que l'identification - il n'est plus temps de tergiverser sur ces questions. L'urgence est l'identification des zones "sans humains" - zones qui vont devenir inadaptées ou qui le sont déjà. Mais surtout la décision - irrévocable - de destruction totale de toutes constructions humaines dans l'ensemble de ces zones, aves retour total à la Nature, et pour préserver totalement la biodiversité, de zones interdites aux hommes.
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Publié le 25/10/2024 - 17h12
Cedrine
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Développer les corridors écologiques pour que la biodiversité puisse plus facilement s'adapter (déplacement en altitude), diminuer les autres pressions sur la biodiversité.
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