Axe 4 - Protéger notre patrimoine naturel et culturel
Protéger les milieux et espèces naturels
Les milieux et les espèces naturels sont très vulnérables aux effets du changement climatique. Le PNACC propose différentes actions pour favoriser leur adaptation et leur résilience.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 15/12/2024 - 20h36
Ockham
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Les services écosystémiques rendus par la "nature" sont généralement mal connus. D'où l'importance de communiquer sur la biodiversité et faire comprendre comment les espèces vivent en équilibre.
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Publié le 15/12/2024 - 20h18
Carine_81
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Pourquoi mettre ces mesures en compétition ? Il faudrait toutes les mettre en œuvre, elles sont complémentaires.
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Publié le 15/12/2024 - 20h08
Jean-Daniel Auzou
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 15/12/2024 - 19h53
Vic
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 15/12/2024 - 18h29
BM
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
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Publié le 14/12/2024 - 18h16
melille
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Etc… Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser le zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 13/12/2024 - 22h29
Bernard_Ulm
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
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Publié le 13/12/2024 - 15h28
J. ROSSELLO
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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Publié le 12/12/2024 - 13h28
Fabienne
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 12/12/2024 - 09h38
ageorges.celine@gmail.com
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[Diagnostiquer] : Réaliser des diagnostics de vulnérabilité des espèces.
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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