Axe 4 - Protéger notre patrimoine naturel et culturel
Protéger les milieux et espèces naturels
Les milieux et les espèces naturels sont très vulnérables aux effets du changement climatique. Le PNACC propose différentes actions pour favoriser leur adaptation et leur résilience.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 18/12/2024 - 16h46
Lucas Degos - FMA
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Les zones humides vont être fragilisées par les changements climatiques. L'outillage des acteurs de terrain et des collectivités, l'accompagnement technique et financier pour les conserver et les restaurer sont cruciaux comme l'atteste le règlement européen pour la restauration de la nature qui devra se décliner au niveau français par un plan national de restauration de la nature. Cependant il serait trop réducteur de les présenter comme des milieux subissant uniquement les changements climatiques. Leur préservation, leur gestion appropriée et la restauration de celles qui ont été dégradées représentent également des SaFN importants pour diminuer les effets des changements climatiques sur nos sociétés et les rendre plus résilientes.
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Publié le 18/12/2024 - 16h43
ThomasV
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[Diagnostiquer] : Réaliser des diagnostics de vulnérabilité des espèces.
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
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Publié le 18/12/2024 - 14h32
PBn
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Informer et protéger tant qu'il en est encore temps
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Publié le 17/12/2024 - 16h48
carolineD63
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces.
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Publié le 17/12/2024 - 15h39
RECLA92160
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Priorités pour la protection des milieux et des espèces naturels - MESURER : Réaliser des recensements réguliers et établir des indicateurs de biodiversité (simples). - INFORMER et SENSIBILISER : Partager les diagnostics et mieux les expliquer, pour générer une prise de conscience de tous les acteurs : élus, industriels, agriculteurs, propriétaires fonciers et du grand public. Intégrer cette sensibilisation dans les programmes scolaires. => Nous devons apprendre à collaborer avec la nature et à insérer nos activités dans le fonctionnement des écosystèmes. - AGIR : Identifier des sources de financement pour accompagner les mesures de préservation et de restauration de la biodiversité. Prioriser la préservation des rivières et des zones humides. L’eau est l’élément essentiel à toute forme de vie et donc à la préservation du tout patrimoine naturel.
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Publié le 17/12/2024 - 10h58
cedric59496
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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Publié le 16/12/2024 - 19h58
Romane.Lothoré
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 16/12/2024 - 14h30
SMBVAS - JR
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
La diversité des espèces est un résultat témoignant d’un état du milieu. La conservation de notre patrimoine naturel hérité des générations passées et nécessaire pour respecter la mémoire des anciens. Les plans d’actions spécifiques à certaines espèces sont parfois néfastes à d’autres. Nous humain, avons du mal à accepter que nous ne connaissions pas tout et nous avons notamment peu de connaissances sur les petites espèces (fourmis, escargots, micro-organismes etc). Elles ont pourtant un rôle stratégique. C’est pourquoi il nous semble stratégique de s’intéresser aux habitats et leurs fonctionnalités. Un habitat fonctionnel fournira gite et couvert à l’ensemble des espèces même celles que l’on connait peu et qu’on ne voit pas. L’objectif espèces lors de travaux de restauration ne doit pas être le seul objectif mais un objectif parmi les autres (inondation-sécheresses, sanitaire, activités humaines, social). L’objectif principal doit être l’équilibre du milieu car ils nous rendent service à nous humain espèce animale. Les espèces bien connues comme les poissons, les mammifères, les oiseaux doivent être des indicateurs biologiques. Leur présence témoigne d’un bon état et donc de fonctions du milieu nous rendant service et inversement. Si l’érosion de la biodiversité continue, il y a du souci à se faire pour les humains et leurs activités. Les milieux naturels et la vie sauvage sont des utilisateurs. Ils sont les premiers à subir les effets néfastes de nos actions passées. La crise est importante et ce même sur des territoires « naturels ». Ils n’ont pas le temps ni les outils pour s’adapter et se raréfient même pour des espèces autrefois communes comme la truite fario. Par le passé, nous avons aménagé nos milieux aquatiques systématiquement en défaveur de notre résistance et résilience : recalibrage, rectification, déplacement lit mineur, implantation d’étangs en lieu et place de tourbières, assainissement de zones humides, pratiques agricoles forestières non adaptées, urbanisation en zone inondable d’autant plus sur les petits cours d’eau de moyenne montagne par facilité d’intervention. Ceci amplifie les effets du changement climatique par dérèglement des équilibres. Ces opérations qui peuvent remonter à plusieurs siècles nécessitent une expertise poussée afin de diagnostiquer ces modifications (ce qui passe par la formation, l’encadrement des agents et leur pérennité sur le territoire). Les inondations et les asséchements partiels de cours d’eau sont étroitement liés. Les solutions à privilégier sont la restauration des équilibres : érosion/dépôt et relation avec la nappe d’accompagnement (SAFN). Elles ne doivent pas être systématiques mais orientées sur des secteurs prioritaires ce qui passe par une connaissance optimale du territoire. Elles doivent être privilégiées sur les secteurs de tête de bassin pour des raisons de rapport entre coût financier et efficacité. Les équilibres restaurés en tête de bassin seront bénéfiques en aval car le réseau hydrographique reste le meilleur distributeur d’eau. L'action concrète par des experts en hydromorphologie doit être facilitée et privilégiée aux études de connaissances Attention, ces solutions quand elles sont employées approximativement, sans ambition technique, sans implication des acteurs locaux (social) sont néfastes car aux résultats partiels facilement soumis à la critique. Elles doivent être conduites par des experts de terrain locaux formés et encadrés, elles doivent être adaptées aux enjeux locaux et pas seulement écologique mais sociale et économique. La restauration écologique est une science, relativement récente, et doit être employée avec méthode et précaution sans systématisation de « recettes toutes faites » car ce qui est vrai sur un territoire ne l’est pas forcément sur un autre.
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Publié le 16/12/2024 - 11h52
Verdad
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ;
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Publié le 15/12/2024 - 21h14
JenniferC
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. - Augmentation des rendements agricoles ; - Puits carbones ; - Prévention des inondations ; - Prévention de maladies vectorielles ; - Aménité environnementale directe ; - Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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