Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique
Mieux se protéger des risques sanitaires liés au changement climatique
Les effets du changement climatique sur notre santé sont nombreux et nécessitent une approche transversale pour y répondre. Les actions du PNACC s’inscrivent dans l’approche transversale « Une seule santé » qui reconnaît que la santé des Hommes, des animaux et des écosystèmes sont étroitement liées et interdépendantes.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 15/12/2024 - 19h19
DomV
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[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
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[Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.
Toutes ces mesures doivent être mises en oeuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix-Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence.
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Publié le 15/12/2024 - 18h20
BM
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[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
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[Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.
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Publié le 14/12/2024 - 17h56
melille
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[Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).
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[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix-Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
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Publié le 13/12/2024 - 14h38
J. ROSSELLO
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[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
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[Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».
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Publié le 12/12/2024 - 18h24
mathieunicolas3@gmail.com
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[Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.
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[Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».
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Publié le 12/12/2024 - 13h09
Fabienne
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[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
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[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
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Publié le 12/12/2024 - 08h14
An
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[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
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[Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.
Ces actions ont déjà été faites : Inciter, former, sensibiliser, connaître, cartographier Sur l'aspect former un exemple incroyable : parmi les maladies infectieuses émergentes la maladie dite Lyme est mal prise en charge en France. Souvent les médecins et personnels soignants sont ignorants de la prolifération des vecteurs tiques et même de l'existence de la maladie.
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Publié le 11/12/2024 - 18h37
THACT
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[Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».
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Publié le 11/12/2024 - 18h19
antonin.muesser
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[Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).
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[Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
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Publié le 11/12/2024 - 17h11
lodimaster
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[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
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[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
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