Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique

Publié le 10/12/2024 - 17h19

• [Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).

• [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

Publié le 10/12/2024 - 13h44

• [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

• [Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.

Publié le 09/12/2024 - 16h09

• [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

• [Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.

Publié le 09/12/2024 - 16h05

• [Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).

• [Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.

Publié le 09/12/2024 - 14h51

• [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

• [Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».

Publié le 09/12/2024 - 12h30

• [Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).

• [Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.

Malheureusement, vous demandez de choisir. Les 6 actions proposées font partie d'un tout. Renoncer à une partie fragilisera l'ensemble de la réussite.

Publié le 09/12/2024 - 09h05

• [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

• [Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».

Les collectivités territoriales, l’Etat, l’Europe, les organismes consulaires, associations et fédérations, doivent protéger les ressources en eau, la qualité de l’air et de manière générale la santé des habitants (accès à l’alimentation), par différentes mesures : a. Soutenir et développer l’agriculture biologique sur le périmètre des champs captants et à proximité des habitations écoles, hôpitaux,… b. Augmenter dans les restaurations collectives et cuisines centrales le poids des produits biologiques produits localement, et si nécessaires développer du maraichage public si le privé ne peut répondre à la demande c. Permettre aux habitants d’accéder à des filières et produits agricoles de qualité en circuits courts, d. Interdire sur un terme à déterminer l’utilisation de foyers ou poêles à bois polluants, avec des aides financières adaptées pour les changements réalisés rapidement vers des modes de chauffage propres e. Interdire également sur un terme à déterminer l’utilisation des tondeuses à essence, et autres tailles haies à essence avec des aides financières adaptées pour les changements réalisés rapidement vers des outils propres (batterie, électriques à fils,..ou développer l’utilisation de carburants plus propres) f. Isoler les équipements publics, poursuivre les programmes d’accompagnement pour l’isolation thermiques des logements

Publié le 08/12/2024 - 13h56

• [Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).

Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.

Publié le 08/12/2024 - 13h23

• [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

• [Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.

L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.

Publié le 07/12/2024 - 21h01

• [Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).

Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur