Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique
Mieux se protéger des risques sanitaires liés au changement climatique
Les effets du changement climatique sur notre santé sont nombreux et nécessitent une approche transversale pour y répondre. Les actions du PNACC s’inscrivent dans l’approche transversale « Une seule santé » qui reconnaît que la santé des Hommes, des animaux et des écosystèmes sont étroitement liées et interdépendantes.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

-
Publié le 17/12/2024 - 15h23
RECLA92160
-
[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
-
[Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».
L’approche systémique '"une seule santé" du monde du vivant : humains, animaux, et biodiversité (mesure 16)
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 17/12/2024 - 10h49
cedric59496
-
[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 16/12/2024 - 23h05
JY Debuire
-
[Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.
-
[Sensibiliser le grand public] : Sensibiliser le grand public à l’approche « Une seule santé ».
L'être humain est une composante du vivant. Il doit se reconnecter au monde vivant car tout est lié. La santé et la diversité du monde vivant dans son ensemble est aussi une garantie de santé de l'humain.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 16/12/2024 - 19h37
Romane.Lothoré
-
[Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).
-
[Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la CroixRouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 16/12/2024 - 12h10
Verdad
-
[Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 16/12/2024 - 10h18
Michel
-
[Surveiller] : Consolider la surveillance des effets du changement climatique sur la santé de la population en développant des outils de surveillance et un réseau d’acteurs (Santé publique France, Anses, Office français de la biodiversité, Météo-France, etc.) sur tout le territoire.
-
[Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.
le personnel de santé est le meilleur "thermomètre" des effets du réchauffement climatique sur la populatio
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 15/12/2024 - 21h02
JenniferC
-
[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
-
[Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 15/12/2024 - 19h57
Carine_81
-
[Coordonner] : Inciter les professionnels de la santé humaine, de la santé animale et de la santé des écosystèmes à mieux se coordonner et travailler ensemble.
-
[Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.
Pourquoi mettre ces mesures en compétition ? Il faudrait toutes les mettre en œuvre, elles sont complémentaires.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 15/12/2024 - 19h46
Jean-Daniel Auzou
-
[Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).
-
[Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la CroixRouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 15/12/2024 - 19h43
Vic
-
[Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).
-
[Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la Croix- Rouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
Partager la page
Soutiens
-
Ajouter ma contribution
La participation est terminée