Axe 2 - Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels
Le rôle essentiel des collectivités territoriales dans l’adaptation au changement climatique
Les collectivités, par leur rôle d’aménageurs du territoire, sont un maillon essentiel pour réussir le chantier de l’adaptation au changement climatique. Le PNACC propose plusieurs actions afin de doter les collectivités des moyens nécessaires pour adapter leur territoire, selon leurs spécificités.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 21/12/2024 - 14h21
Cedric
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[Guider] : Définir un socle commun « d'actions sans regret » * à mener dans tous les territoires et publier un guide pour expliquer ce qu’est la mal-adaptation avec des exemples concrets pour l’éviter. (* Action sans regret : actions qui présentent des bénéfices quand bien même l'impact du changement climatique est inférieur à celui envisagé. Par exemple, valoriser les zones de fraîcheur urbaine pour anticiper une hausse des températures à l'avenir présente par exemple de nombreux atouts : création de lieux publics, amélioration de la qualité de vie, économies d'énergie, etc.)
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[Planifier] : Intégrer systématiquement le climat futur dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements de demain en intégrant les effets du changement climatique.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Le rôle des collectivités territoriales dans les politiques d’adaptation au changement climatique doit être pleinement reconnu. Ces collectivités constituent l’échelon opérationnel de l’adaptation, traduisant au niveau local les orientations et mesures imposées par l’État. Créer un lien plus étroit entre l’État et les collectivités est indispensable pour faciliter la mise en œuvre concrète de ces politiques. Actuellement, les collectivités manquent de moyens humains et financiers pour répondre aux attentes nationales, ce qui freine leur capacité à s’adapter efficacement. Pour l’instant, les coupes budgétaires et l’absence d’accompagnement obligent les collectivités à assumer seules, et sans un soutien suffisant de la puissance publique, le poids de l’adaptation, créant ainsi des inégalités entre les collectivités et les populations. L’État a un rôle de stratège qu’il « ne joue pas correctement, notamment en fixant des objectifs et en définissant des trajectoires pour les atteindre ». Pour remédier à cette situation, il est impératif d’intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements que l’État alloue aux collectivités. À rebours des politiques actuelles de réduction des budgets locaux, des investissements massifs, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards d’euros, sont indispensables pour permettre une adaptation juste et ambitieuse par les collectivités territoriales. Ces financements doivent s’accompagner d’un soutien technique et humain afin de renforcer les capacités locales. Par ailleurs, les mesures « sans regrets » apportent des bénéfices, quels que soient les scénarios climatiques futurs, et doivent donc être déployées en urgence. Ces actions présentent des avantages non seulement en termes climatiques, mais aussi sociaux et économiques, et peuvent être déployées dès maintenant. Leur mise en œuvre dans les collectivités territoriales doit être accélérée. Cependant, pour que l’adaptation soit effective à l’échelle des collectivités territoriales, une approche systémique doit être adoptée. L’État doit donc également impulser des politiques d’adaptation au niveau territorial, notamment en sensibilisant les acteurs des collectivités qui sont en première ligne, et en intégrant systématiquement l’enjeu d’adaptation dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements futurs en intégrant les effets du changement climatique ainsi que donner les moyens financiers et humains pour permettre une adaptation juste dont les besoins doivent émaner des collectivités, tout en donnant des caps politiques permettant une acceptabilité de mise en place au niveau local.
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Publié le 21/12/2024 - 09h21
JY Debuire
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[Sensibiliser les élus] : Poursuivre les actions de sensibilisation pour les élus et de formation pour les agents publics des collectivités, y compris en outre-mer.
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[Financer] : Intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements de l’Etat accordés aux collectivités.
La dimension de l'adaptation est inéluctable mais au-delà de celle-ci les actions en amont en faveur de la limitation des émissions de GES, de la préservation de la biodiversité, de la recherche de sobriété, de la limitation de la consommation sont cruciales ...
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Publié le 20/12/2024 - 17h40
Hugo35
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[Guider] : Définir un socle commun « d'actions sans regret » * à mener dans tous les territoires et publier un guide pour expliquer ce qu’est la mal-adaptation avec des exemples concrets pour l’éviter. (* Action sans regret : actions qui présentent des bénéfices quand bien même l'impact du changement climatique est inférieur à celui envisagé. Par exemple, valoriser les zones de fraîcheur urbaine pour anticiper une hausse des températures à l'avenir présente par exemple de nombreux atouts : création de lieux publics, amélioration de la qualité de vie, économies d'énergie, etc.)
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[Financer] : Intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements de l’Etat accordés aux collectivités.
Les coupes budgétaires et l’absence d’accompagnement obligent les collectivités à assumer seules, et sans un soutien suffisant de la puissance publique, le poids de l’adaptation, créant ainsi des inégalités entre les collectivités et les populations. Il est impératif d’intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements que l’État alloue aux collectivités. À rebours des politiques actuelles de réduction des budgets locaux, des investissements massifs, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards d’euros, sont indispensables pour permettre une adaptation juste et ambitieuse par les collectivités territoriales. Ces financements doivent s’accompagner d’un soutien technique et humain afin de renforcer les capacités locales. Les mesures « sans regrets » et doivent être déployées en urgence. Ces actions présentent des avantages non seulement en termes climatiques, mais aussi sociaux et économique. Leur mise en œuvre dans les collectivités territoriales doit être accélérée. Cependant, pour que l’adaptation soit effective à l’échelle des collectivités territoriales, une approche systémique doit être adoptée. L’enjeu d’adaptation doit impérativement être intégré dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements futurs en intégrant les effets du changement climatique ainsi que donner les moyens financiers et humains pour permettre une adaptation juste dont les besoins doivent émaner des collectivités avec la participation des différents acteurs sociaux et économiques et populations y compris les personnes en situation de précarité ou pauvreté qui seront les plus impactés par les effets du déréglément climatique.
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Publié le 20/12/2024 - 17h13
E.Soncourt
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[Guider] : Définir un socle commun « d'actions sans regret » * à mener dans tous les territoires et publier un guide pour expliquer ce qu’est la mal-adaptation avec des exemples concrets pour l’éviter. (* Action sans regret : actions qui présentent des bénéfices quand bien même l'impact du changement climatique est inférieur à celui envisagé. Par exemple, valoriser les zones de fraîcheur urbaine pour anticiper une hausse des températures à l'avenir présente par exemple de nombreux atouts : création de lieux publics, amélioration de la qualité de vie, économies d'énergie, etc.)
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[Planifier] : Intégrer systématiquement le climat futur dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements de demain en intégrant les effets du changement climatique.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Le rôle des collectivités territoriales dans les politiques d’adaptation au changement climatique doit être pleinement reconnu. Ces collectivités constituent l’échelon opérationnel de l’adaptation, traduisant au niveau local les orientations et mesures imposées par l’État. Créer un lien plus étroit entre l’État et les collectivités est indispensable pour faciliter la mise en œuvre concrète de ces politiques. Actuellement, les collectivités manquent de moyens humains et financiers pour répondre aux attentes nationales, ce qui freine leur capacité à s’adapter efficacement. Pour l’instant, les coupes budgétaires et l’absence d’accompagnement obligent les collectivités à assumer seules, et sans un soutien suffisant de la puissance publique, le poids de l’adaptation, créant ainsi des inégalités entre les collectivités et les populations. L’État a un rôle de stratège qu’il « ne joue pas correctement, notamment en fixant des objectifs et en définissant des trajectoires pour les atteindre ». Pour remédier à cette situation, il est impératif d’intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements que l’État alloue aux collectivités. À rebours des politiques actuelles de réduction des budgets locaux, des investissements massifs, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards d’euros, sont indispensables pour permettre une adaptation juste et ambitieuse par les collectivités territoriales. Ces financements doivent s’accompagner d’un soutien technique et humain afin de renforcer les capacités locales. Par ailleurs, les mesures « sans regrets » apportent des bénéfices, quels que soient les scénarios climatiques futurs, et doivent donc être déployées en urgence. Ces actions présentent des avantages non seulement en termes climatiques, mais aussi sociaux et économiques, et peuvent être déployées dès maintenant. Leur mise en œuvre dans les collectivités territoriales doit être accélérée. Cependant, pour que l’adaptation soit effective à l’échelle des collectivités territoriales, une approche systémique doit être adoptée. L’État doit donc également impulser des politiques d’adaptation au niveau territorial, notamment en sensibilisant les acteur·ice·s des collectivités qui sont en première ligne, et en intégrant systématiquement l’enjeu d’adaptation dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements futurs en intégrant les effets du changement climatique ainsi que donner les moyens financiers et humains pour permettre une adaptation juste dont les besoins doivent émaner des collectivités, tout en donnant des caps politiques permettant une acceptabilité de mise en place au niveau local.
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Publié le 20/12/2024 - 14h47
paulinegeoghegan@hotmail.com
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[Guider] : Définir un socle commun « d'actions sans regret » * à mener dans tous les territoires et publier un guide pour expliquer ce qu’est la mal-adaptation avec des exemples concrets pour l’éviter. (* Action sans regret : actions qui présentent des bénéfices quand bien même l'impact du changement climatique est inférieur à celui envisagé. Par exemple, valoriser les zones de fraîcheur urbaine pour anticiper une hausse des températures à l'avenir présente par exemple de nombreux atouts : création de lieux publics, amélioration de la qualité de vie, économies d'énergie, etc.)
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[Financer] : Intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements de l’Etat accordés aux collectivités.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Le rôle des collectivités territoriales dans les politiques d’adaptation au changement climatique doit être pleinement reconnu. Ces collectivités constituent l’échelon opérationnel de l’adaptation, traduisant au niveau local les orientations et mesures imposées par l’État. Créer un lien plus étroit entre l’État et les collectivités est indispensable pour faciliter la mise en œuvre concrète de ces politiques. Actuellement, les collectivités manquent de moyens humains et financiers pour répondre aux attentes nationales, ce qui freine leur capacité à s’adapter efficacement. Pour l’instant, les coupes budgétaires et l’absence d’accompagnement obligent les collectivités à assumer seules, et sans un soutien suffisant de la puissance publique, le poids de l’adaptation, créant ainsi des inégalités entre les collectivités et les populations. L’État a un rôle de stratège qu’il « ne joue pas correctement, notamment en fixant des objectifs et en définissant des trajectoires pour les atteindre ». Pour remédier à cette situation, il est impératif d’intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements que l’État alloue aux collectivités. À rebours des politiques actuelles de réduction des budgets locaux, des investissements massifs, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards d’euros, sont indispensables pour permettre une adaptation juste et ambitieuse par les collectivités territoriales. Ces financements doivent s’accompagner d’un soutien technique et humain afin de renforcer les capacités locales. Par ailleurs, les mesures « sans regrets » apportent des bénéfices, quels que soient les scénarios climatiques futurs, et doivent donc être déployées en urgence. Ces actions présentent des avantages non seulement en termes climatiques, mais aussi sociaux et économiques, et peuvent être déployées dès maintenant. Leur mise en œuvre dans les collectivités territoriales doit être accélérée. Cependant, pour que l’adaptation soit effective à l’échelle des collectivités territoriales, une approche systémique doit être adoptée. L’État doit donc également impulser des politiques d’adaptation au niveau territorial, notamment en sensibilisant les acteur·rice·s des collectivités qui sont en première ligne, et en intégrant systématiquement l’enjeu d’adaptation dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements futurs en intégrant les effets du changement climatique ainsi que donner les moyens financiers et humains pour permettre une adaptation juste dont les besoins doivent émaner des collectivités, tout en donnant des caps politiques permettant une acceptabilité de mise en place au niveau local.
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Publié le 19/12/2024 - 19h39
Marie Catteau
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[Guider] : Définir un socle commun « d'actions sans regret » * à mener dans tous les territoires et publier un guide pour expliquer ce qu’est la mal-adaptation avec des exemples concrets pour l’éviter. (* Action sans regret : actions qui présentent des bénéfices quand bien même l'impact du changement climatique est inférieur à celui envisagé. Par exemple, valoriser les zones de fraîcheur urbaine pour anticiper une hausse des températures à l'avenir présente par exemple de nombreux atouts : création de lieux publics, amélioration de la qualité de vie, économies d'énergie, etc.)
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[Planifier] : Intégrer systématiquement le climat futur dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements de demain en intégrant les effets du changement climatique.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Le rôle des collectivités territoriales dans les politiques d’adaptation au changement climatique doit être pleinement reconnu. Ces collectivités constituent l’échelon opérationnel de l’adaptation, traduisant au niveau local les orientations et mesures imposées par l’État. Créer un lien plus étroit entre l’État et les collectivités est indispensable pour faciliter la mise en œuvre concrète de ces politiques. Actuellement, les collectivités manquent de moyens humains et financiers pour répondre aux attentes nationales, ce qui freine leur capacité à s’adapter efficacement. Pour l’instant, les coupes budgétaires et l’absence d’accompagnement obligent les collectivités à assumer seules, et sans un soutien suffisant de la puissance publique, le poids de l’adaptation, créant ainsi des inégalités entre les collectivités et les populations. L’État a un rôle de stratège qu’il « ne joue pas correctement, notamment en fixant des objectifs et en définissant des trajectoires pour les atteindre ». Pour remédier à cette situation, il est impératif d’intégrer la dimension de l’adaptation dans les financements que l’État alloue aux collectivités. À rebours des politiques actuelles de réduction des budgets locaux, des investissements massifs, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards d’euros, sont indispensables pour permettre une adaptation juste et ambitieuse par les collectivités territoriales. Ces financements doivent s’accompagner d’un soutien technique et humain afin de renforcer les capacités locales. Par ailleurs, les mesures « sans regrets » apportent des bénéfices, quels que soient les scénarios climatiques futurs, et doivent donc être déployées en urgence. Ces actions présentent des avantages non seulement en termes climatiques, mais aussi sociaux et économiques, et peuvent être déployées dès maintenant. Leur mise en œuvre dans les collectivités territoriales doit être accélérée. Cependant, pour que l’adaptation soit effective à l’échelle des collectivités territoriales, une approche systémique doit être adoptée. L’État doit donc également impulser des politiques d’adaptation au niveau territorial, notamment en sensibilisant les acteur·rice·s des collectivités qui sont en première ligne, et en intégrant systématiquement l’enjeu d’adaptation dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements futurs en intégrant les effets du changement climatique ainsi que donner les moyens financiers et humains pour permettre une adaptation juste dont les besoins doivent émaner des collectivités, tout en donnant des caps politiques permettant une acceptabilité de mise en place au niveau local.
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Publié le 19/12/2024 - 18h20
NP
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[Sensibiliser les élus] : Poursuivre les actions de sensibilisation pour les élus et de formation pour les agents publics des collectivités, y compris en outre-mer.
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[Planifier] : Intégrer systématiquement le climat futur dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements de demain en intégrant les effets du changement climatique.
Chaque commune devrait intégrer obligatoirement la mise en place de sources d'énergies renouvelables dans toute nouvelle construction.
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Publié le 18/12/2024 - 20h02
ac945
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[Planifier] : Intégrer systématiquement le climat futur dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements de demain en intégrant les effets du changement climatique.
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[Accompagner] : Proposer une offre d’accompagnement par des opérateurs publics pour appuyer les collectivités dans l’élaboration de leurs plans de résilience.
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Publié le 18/12/2024 - 17h47
HeloiseFXBD
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[Rendre l’information accessible] : Créer un portail national des impacts du changement climatique pour mettre à disposition de tous les données et analyses d’impact du changement climatique.
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[Accompagner] : Proposer une offre d’accompagnement par des opérateurs publics pour appuyer les collectivités dans l’élaboration de leurs plans de résilience.
La Mission Nationale envisagée dans le plan d'adaptation pourrait avoir un rôle d'observatoire, de facilitateur et de connecteur, pour animer en réseau et permettre de gagner en efficacité (bottom up, échanges de pratiques et d'expériences entre élus et collectivités pour se sentir moins seules, s'inspirer et mutualiser les idées et moyens) Cette Mission Nationale pourrait notamment accompagner et former les collectivités à la conduite du changement : face à la nécessité d'aller vite sur certains sujets, il est important d'emporter un maximum l'adhésion des habitants pour éviter les réticences voire confrontations. Dans son rôle d'observatoire "ressource", la Mission Nationale pourrait notamment puiser dans les low techs et contribuer à adapter le contexte législatif pour assouplir et rendre les solutions accessibles y compris aux petites collectivités (sur le plan financier/technique mais aussi administratif), en particulier dans un contexte budgétaire contraint et avec l'idée d'une simplification administrative. Enfin, la Mission Nationale devrait s'attacher à évaluer le plan national d'adaptation, axe par axe, afin de gagner en efficience et réévaluer le financement des solutions qui ont fait ou non leurs preuves : ne pas s'attacher à des solutions "symboliques" voire "politiques" s'il est montré qu'elles ne donnent pas les résultats escomptés, avoir l'objectivité et l'humilité d'avancer vers des solutions ayant réellement un impact significatif
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Publié le 18/12/2024 - 16h29
Lucas Degos - FMA
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[Sensibiliser les élus] : Poursuivre les actions de sensibilisation pour les élus et de formation pour les agents publics des collectivités, y compris en outre-mer.
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[Planifier] : Intégrer systématiquement le climat futur dans les documents locaux comme les plans locaux d’urbanisme pour prévoir les aménagements de demain en intégrant les effets du changement climatique.
Les décideurs locaux et les agents publiques disposent de leviers importants pour l'adaptation aux changements climatiques au niveau de leurs territoires. La diffusion de connaissances, le partages d'expériences et la mise en œuvre d'outils comme les Ateliers de l'Adaptation aux Changements Climatiques à adapter territorialement sont autant de pistes d'actions prioritaires à mener. Par exemple, il peut s'agir de l'intégration des SaFN dans les documents d'urbanisme et des stratégies à différentes échelles pour l'adaptation au changement climatique sans oublier l'atténuation du changement climatique (non-dégradation des ZH pouvant représenter des stocks de carbone conséquents).
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