Axe 2 - Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels
Assurer la continuité de l’Ecole et de l’accueil des jeunes enfants dans un contexte de changement climatique
L’adaptation des écoles et crèches au changement climatique afin d’assurer la continuité de l’enseignement scolaire et de l’accueil des jeunes enfants est une nécessité.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 21/12/2024 - 18h33
DomV
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en oeuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 21/12/2024 - 14h24
Cedric
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 21/12/2024 - 09h42
JY Debuire
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[Ressources] : Créer un centre de ressources documentaire destiné aux porteurs de projet de rénovation pour mettre à disposition notamment des cahiers des charges types, des guides de bonnes pratiques et autres recommandations, y compris en matière de confort d’été.
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
La création d'un centre de ressources permettra d'encourager les initiatives et les passage à l'action. Ensuite, la prévention des risques climatiques extrêmes doit viser à éduquer les jeunes mais également à déclencher l'action. La question des fortes chaleurs est importante et ne doit pas être négligée et des adaptations sont nécessaires mais il me semble qu'il faut aller plus loin. Je n'ai pas choisi l'instauration d'une pièce rafraîchie qui pourrait être assimilée à l'installation de climatiseur qui ne me semble pas être la meilleure solution. La végétalisation des écoles et des cours de récréation, par exemple est une meilleure piste.
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Publié le 20/12/2024 - 18h30
Hugo35
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la végétalisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, il est très regrettable que le projet de PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Alors que les enfants sont un public fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque aucune planification de rénovation des écoles n’est programmée, avec une analyse différenciée, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics. Toutes les actions proposées doivent être engagées et donner lieu à des engagements budgétaires.
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Publié le 20/12/2024 - 17h21
E.Soncourt
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 20/12/2024 - 14h49
paulinegeoghegan@hotmail.com
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 20/12/2024 - 13h56
mathieunicolas3@gmail.com
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[Ressources] : Créer un centre de ressources documentaire destiné aux porteurs de projet de rénovation pour mettre à disposition notamment des cahiers des charges types, des guides de bonnes pratiques et autres recommandations, y compris en matière de confort d’été.
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Publié le 19/12/2024 - 19h41
Marie Catteau
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque
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Publié le 18/12/2024 - 16h28
Union nationale des entreprises du paysage
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[Aller plus loin] : Etudier l’opportunité d’instaurer obligatoirement une pièce rafraîchie dans toutes les écoles.
Il nous semble que la végétalisation des cours d'école devrait être une priorité, à la fois pour permettre aux enfants de bénéficier de conditions d'accueil améliorées, mais également pour accueillir d'autre population pendant la période estivale.
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Publié le 18/12/2024 - 14h33
ThomasV
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[Ressources] : Créer un centre de ressources documentaire destiné aux porteurs de projet de rénovation pour mettre à disposition notamment des cahiers des charges types, des guides de bonnes pratiques et autres recommandations, y compris en matière de confort d’été.
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
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