Axe 2 - Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels
Assurer la résilience des transports face au changement climatique
Lors d’événements climatiques récents, la rupture d’axes de transport a montré l’ampleur des conséquences en termes de perturbation des circulations et de coûts de reconstruction. Les transports sont des services essentiels qu’il faut adapter aux effets du changement climatique.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 27/12/2024 - 14h57
JET
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[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale
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Publié le 27/12/2024 - 13h50
Steph Giraud
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[Planifier] : Etablir des plans d’adaptation des infrastructures et services de transport (trains, autoroutes, transports en commun, aéroports…) et planifier les travaux d’adaptation des infrastructures actuelles selon leur caractère prioritaire.
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[Débattre] : Discuter localement du niveau de service attendu (acceptabilité d’interruptions temporaires et/ou de dégradation de service sur certaines infrastructures par exemple en cas d’inondations ou de fortes chaleurs, ou encore de tempêtes (submersion).
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur. Un minimum de 1 réponse est demandé et un maximum de 2 réponses peut être choisi. L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale
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Publié le 27/12/2024 - 11h05
Soso11
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[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale.
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Publié le 27/12/2024 - 10h21
palart@ville-sainttropez.fr
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[Planifier] : Etablir des plans d’adaptation des infrastructures et services de transport (trains, autoroutes, transports en commun, aéroports…) et planifier les travaux d’adaptation des infrastructures actuelles selon leur caractère prioritaire.
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[Recenser] : Recenser les actions d’adaptation menées au niveau local pour engager un débat sur les actions complémentaires à apporter et leur gouvernance.
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Publié le 27/12/2024 - 09h26
Mathieux
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[Planifier] : Etablir des plans d’adaptation des infrastructures et services de transport (trains, autoroutes, transports en commun, aéroports…) et planifier les travaux d’adaptation des infrastructures actuelles selon leur caractère prioritaire.
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[Débattre] : Discuter localement du niveau de service attendu (acceptabilité d’interruptions temporaires et/ou de dégradation de service sur certaines infrastructures par exemple en cas d’inondations ou de fortes chaleurs, ou encore de tempêtes (submersion).
Les transports sont un secteur très important, mais aussi très vulnérable. Il est alors nécessaire de planifier l'adaptation des infrastructures mais aussi des services de transports pour ne pas prendre les personnes au dépourvu et avec qui il est nécessaire de débattre pour leur faire prendre conscience des dangers (conséquences directes et palpables du changement climatique) et de comment s'y adapter.
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Publié le 27/12/2024 - 08h16
BEA DES ARDENNES
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[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale
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Publié le 27/12/2024 - 00h54
IsabelleBordeaux
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[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
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Publié le 26/12/2024 - 22h34
thibaultllc
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[Planifier] : Etablir des plans d’adaptation des infrastructures et services de transport (trains, autoroutes, transports en commun, aéroports…) et planifier les travaux d’adaptation des infrastructures actuelles selon leur caractère prioritaire.
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[Débattre] : Discuter localement du niveau de service attendu (acceptabilité d’interruptions temporaires et/ou de dégradation de service sur certaines infrastructures par exemple en cas d’inondations ou de fortes chaleurs, ou encore de tempêtes (submersion).
Sur la base d'un diagnostic précis des vulnérabilités, les plans d'adaptation doivent rester flexibles pour intégrer les évolutions climatiques, influencées par les niveaux d’émissions de gaz à effet de serre (GES), ainsi que leurs variations à l’échelle locale. Les responsabilités doivent être à la fois partagées et clairement définies, afin de dissiper les craintes de certains acteurs face au risque de devoir assumer une part disproportionnée des impacts. Certaines infrastructures, telles que des routes en zones montagneuses ou celles exposées à la montée du niveau de la mer, pourraient ne pas être adaptables. Il est donc essentiel de poser la question du niveau de service attendu pour les itinéraires les plus vulnérables. Cela nécessite un temps de diagnostic approfondi suivi d’un débat collectif, afin d’éviter des décisions prises dans l’urgence. Le niveau de service attendu doit être un choix politique. Les politiques d’entretien et de maintenance qui en découlent doivent ensuite être planifiées et budgétées en cohérence avec ces priorités.
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Publié le 26/12/2024 - 17h16
Mariane
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Publié le 26/12/2024 - 16h49
hbouvierliminana16@gmail.com
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[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
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