Axe 2 - Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels

Publié le 01/11/2024 - 19h44

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

C'est quand même dommage que les mobilités douces et actives ne soient même pas citées alors qu'elles représentent un réel atout face au dérèglement climatique... Les mobilités douces et actives, comme la marche et le vélo, représentent une solution efficace pour lutter contre le réchauffement climatique, avec des avantages notables pour l’environnement, la santé, et l’économie, aussi bien pour les particuliers que pour les pouvoirs publics. Réduction des émissions et de la pollution Le recours aux mobilités douces permet de limiter les émissions de gaz à effet de serre (GES) et de réduire la pollution de l’air. Contrairement aux véhicules motorisés, les déplacements actifs n’émettent pas de CO₂ et diminuent les polluants atmosphériques tels que le dioxyde d’azote (NO₂) et les particules fines. Ce changement d’habitude est donc essentiel pour améliorer la qualité de l’air, en particulier dans les zones urbaines denses, et contribuer ainsi à la réduction des effets du réchauffement climatique. Avantages pour la santé publique La promotion des mobilités actives améliore la santé des populations en encourageant l’activité physique. La marche et le vélo contribuent à diminuer les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, d’obésité, et autres affections liées à la sédentarité. Une population en meilleure santé entraîne une baisse des dépenses médicales, tant pour les particuliers que pour les systèmes de santé publique. Les économies ainsi générées peuvent être réinvesties dans d’autres priorités, renforçant le bien-être collectif et allégeant les charges sur les infrastructures de santé. Économies pour les particuliers Pour les particuliers, les mobilités douces représentent des économies directes. Comparées aux voitures, elles éliminent les coûts de carburant, d’assurance, de stationnement et réduisent les frais d’entretien. Les trajets actifs s’avèrent donc particulièrement avantageux dans les villes, où les distances sont souvent courtes et les alternatives motorisées coûteuses. De plus, une activité physique régulière favorise le bien-être mental et physique, ce qui améliore la productivité au quotidien. Bénéfices pour les pouvoirs publics Pour les pouvoirs publics, les mobilités douces permettent de réduire les dépenses liées aux infrastructures. Les pistes cyclables et les aménagements piétons coûtent moins cher à construire et entretenir que les routes pour les véhicules motorisés, ce qui libère des ressources budgétaires. De plus, en réduisant les besoins de soin liés aux maladies causées par la pollution et la sédentarité, les collectivités bénéficient de baisses de dépenses de santé publique. Valorisation du territoire et attractivité urbaine Les investissements dans les infrastructures pour mobilités douces augmentent l’attractivité des territoires. Les centres urbains mieux adaptés aux piétons et aux cyclistes attirent plus de résidents, d’entreprises et de visiteurs, dynamisant ainsi l’économie locale. Une ville où la marche et le vélo sont facilités est perçue comme plus agréable, ce qui renforce le tourisme, le commerce local, et génère des recettes fiscales supplémentaires pour les municipalités. Aménagement urbain durable et résilient Les mobilités douces incitent à concevoir des espaces publics plus verts et plus résilients face aux changements climatiques. En réduisant l’encombrement des routes et la dépendance à la voiture, elles favorisent un urbanisme plus équilibré, limitent les îlots de chaleur et contribuent à des environnements plus agréables et adaptés aux défis écologiques actuels. Conclusion En somme, les mobilités douces et actives sont une solution durable, rentable et bénéfique, tant pour les individus que pour la société. En réduisant les émissions, en favorisant la santé, et en limitant les dépenses, elles constituent un levier essentiel pour répondre aux enjeux climatiques, améliorer la qualité de vie et dynamiser l’économie locale. Adopter les mobilités douces est donc un choix gagnant pour un avenir plus durable.

Publié le 01/11/2024 - 15h09

• Le réseau routier départemental et communal

• Le réseau ferroviaire

Publié le 01/11/2024 - 12h02

• Le réseau ferroviaire

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

Publié le 01/11/2024 - 07h04

• Le réseau routier national / les autoroutes

• Le réseau routier départemental et communal

• Les aéroports

Publié le 31/10/2024 - 21h31

• Le réseau routier national / les autoroutes

• Le réseau ferroviaire

• Les voies navigables. 

Publié le 31/10/2024 - 12h18

• Le réseau ferroviaire

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

Il est évident qu'il faut prioriser les transports en commun afin de pousser les citoyens à les utiliser pour sortir du tout voiture. Il est également évident qu'il faut aller plus loin en ce qui concerne l'aérien et supprimer définitivement toutes les liaisons intérieures qui sont une aberration.

Publié le 31/10/2024 - 11h20

• Le réseau ferroviaire

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

• Les voies navigables. 

Aujourd'hui, la voiture individuelle reste la solution prépondérante, les transports en commun ne couvrent pas suffisamment de zones (en dehors des métropoles) et restent bien plus chers que la voiture. En renouvelant les réseaux ferroviaires et guidés, il faut profiter des travaux d'adaptation pour chercher à améliorer l'attractivité de ces modes de transport. La voiture individuelle doit être progressivement abandonnée. L'électrification des véhicules ne règle qu'une partie du problème (usure des pneus, remise en suspension des particules sur la chaussée, sans parler de la production des batteries et de leur fin de vie...).

Publié le 31/10/2024 - 10h55

• Le réseau routier national / les autoroutes

• Le réseau ferroviaire

• Les aéroports

Publié le 30/10/2024 - 18h53

• Le réseau routier départemental et communal

• Le réseau ferroviaire

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

Privilégier les moyens de transport vertueux ou strictement nécessaire et taxer les autres pour financer !

Publié le 30/10/2024 - 17h20

• Le réseau ferroviaire

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

Commençons par appliquer les mesures proposées par la convention citoyenne pour le climat. Investir massivement dans le train, le vélo et les transports guidés tramways, métro. INVESTIR LE MINIMUM dans le réseau routier pour le maintenir fonctionnel, pas de nouvelles autoroutes