Axe 4 - Protéger notre patrimoine naturel et culturel
Protéger les milieux et espèces naturels
Les milieux et les espèces naturels sont très vulnérables aux effets du changement climatique. Le PNACC propose différentes actions pour favoriser leur adaptation et leur résilience.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 27/12/2024 - 16h24
Grissel Meneses
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Les interconnections entre climat, biodiversité, alimentation et santé ne sont pas toujours appréhendées (IPBES, 2024), la mobilisation des différents acteurs régionaux autour de ces sites d'exception, dans la conception et le développement des projets pédagogiques, favoriserait un échange multidisciplinaire et une montée en compétences de l'ensemble des acteurs, qui pourrait contribuer aussi à la définition et le suivi des indicateurs de biodiversité. La mobilisation des différents expertises et la fédération des acteurs de la conservation, enseignants, établissements scolaires et institutions éducatives, associations et acteurs économiques autour des projets intergénérationnels, concrets tournés ver l'action, contribuerait également à l'apprentissage tout au long de la vie, en donnant du sens aux parcours d'éducation formelle et non formelle.
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Publié le 27/12/2024 - 15h09
JET
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 27/12/2024 - 14h20
Steph Giraud
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 27/12/2024 - 11h23
Soso11
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. - Augmentation des rendements agricoles ; - Puits carbones ; - Prévention des inondations ; - Prévention de maladies vectorielles ; - Aménité environnementale directe ; - Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées.
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Publié le 27/12/2024 - 11h14
palart@ville-sainttropez.fr
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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Publié le 27/12/2024 - 09h57
Mathieux
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[Diagnostiquer] : Réaliser des diagnostics de vulnérabilité des espèces.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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Publié le 27/12/2024 - 09h24
Godefroy
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[Expérimenter] : Faire de nos aires protégées les laboratoires de l’adaptation au changement climatique en intégrant les enjeux de l’adaptation dans leur plan de gestion.
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
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Publié le 27/12/2024 - 08h27
BEA DES ARDENNES
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. La biodiversité est une partie intégrante de notre environnement qui participe directement à notre bien-être. Elle rend des services directs d’une valeur inestimable. Augmentation des rendements agricoles ; Puits carbones ; Prévention des inondations ; Prévention de maladies vectorielles ; Aménité environnementale directe ; Amélioration de la qualité de l’eau ; Ces services écosystémiques sont indispensables à notre survie et pourtant, ils sont à la fois menacés par le changement climatique et par les activités directes. La France ne peut pas adopter un plan national d’adaptation qui dit vouloir protéger les espèces naturelles sans prendre en compte les impacts de ses propres politiques sur leur disparition. L’agriculture repose sur un système non résilient et dépendant à l’utilisation de pesticides qui contribuent directement à la disparition de la biodiversité, qui pourtant, permet l’augmentation des rendements. Il faut donc massivement passer et soutenir les pratiques agro-écologiques. L’artificialisation des sols contribue également à leur disparition. Pourtant, France Stratégie estime que 61 000 hectares de terres ont été inutilement artificialisés. Il faut sanctuariser la zéro artificialisation nette, améliorer le dispositif, son suivi et son évaluation, afin de permettre à des espaces d’être renaturés. La faible protection de nos aires marines protégées contribue également à la perte de ces espèces et de ces espaces. En 2021, près de la moitié de l’effort de pêche des navires de plus de 15 mètres avait lieu dans les aires marines protégées en métropole. Ramené à la surface occupée par les différentes catégories d’aires marines protégées françaises, l’intensité de pêche est même plus forte en 2021 dans les sites Natura 2000 et les parcs naturels marins, symboles d’un modèle de protection « à la française », que dans les zones non protégées. La France ne protège d’ailleurs réellement que 4% de ses aires marines protégées
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Publié le 27/12/2024 - 01h32
IsabelleBordeaux
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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[Communiquer] : Développer une campagne de communication grand public sur l’intérêt de protéger la biodiversité.
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Publié le 26/12/2024 - 22h34
Jérôme Caulière
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[Identifier] : Identifier les habitats et espèces vulnérables au changement climatique et les pertes de services écosystémiques associées à leur dégradation et/ou disparition.
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[Restaurer] : Restaurer la morphologie des cours d’eau*, des paysages annexes et des zones humides. (* La morphologie des cours d'eau correspond à la forme que les rivières adoptent en fonction des conditions climatiques et géologiques.)
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