Axe 5 - Mobiliser les forces vives de la Nation pour réussir l’adaptation au changement climatique

Publié le 19/12/2024 - 18h26

• Le déploiement d’une communication pédagogique adaptée (guides, infographies, etc.).

• L’organisation d’évènements thématiques autour de l’adaptation à la suite de la publication du plan.

toutes les propositions sont à mettre en oeuvre. L'organisation d'évènements thématiques après la publication du plan s'avère décisive, mais il faudra aussi renouveler d'autres évènements climatiques chaque année. L'organisation d'une semaine de mobilisation annuelle me semble une bonne solution.

Publié le 19/12/2024 - 18h17

• L’organisation d’évènements thématiques autour de l’adaptation 1 an après la sortie du plan puis à chaque date anniversaire du plan.

• Autre (à préciser) : 

On pourrait : - mettre en place un service civique obligatoire de 1 mois pour replanter des haies, des forêts... - mobiliser le personnel militaire qui n'est pas en intervention pour mettre en œuvre des actions de renaturation ou de suppression d'espèces exotiques envahissantes de grande envergure - 1 fois par an faire une émission avec Stéphane Bern élisant le meilleur "village protégeant l'environnement"

Publié le 18/12/2024 - 16h51

• L’organisation d’une semaine de mobilisation annuelle sur l’adaptation au changement climatique.

• Le déploiement d’une communication pédagogique adaptée (guides, infographies, etc.).

L'organisation d'une semaine de mobilisation annuelle sur l'adaptation au changement climatique pourra se faire en partenariat avec l'organisation de la Journée Mondiale des Zones Humides qui a lieu chaque année le 02 février (date anniversaire de la Convention Ramsar, convention internationale sur les zones humides). Depuis quelques années, la JMZH s'étend sur l'ensemble du mois de février, le mois dédié zones humides.

Publié le 18/12/2024 - 16h45

• L’organisation d’une semaine de mobilisation annuelle sur l’adaptation au changement climatique.

• Le déploiement d’une communication pédagogique adaptée (guides, infographies, etc.).

Publié le 18/12/2024 - 14h44

• L’organisation d’évènements thématiques autour de l’adaptation 1 an après la sortie du plan puis à chaque date anniversaire du plan.

• Autre (à préciser) : 

L'éducation de la génération à venir est primordiale: les programmes scolaires doivent intégrer ces sujets d'une manière plus approfondie, année après année Les médias doivent "jouer leur rôle" en informant sur les effets à venir de l'immobilité, voire du retour en arrière si cher à certains La mobilisation doit être générale: apprenons à militer dans des associations, à participer aux réunions de quartier pour un quotidien qui restera vivable Chaque petit pas est important: alors, mesdames et messieurs les décideurs, en marche ! (et pour de vrai cette fois)

Publié le 17/12/2024 - 16h54

• L’organisation d’une semaine de mobilisation annuelle sur l’adaptation au changement climatique.

• Autre (à préciser) : 

la sensibilisation doit aussi passer par l'enseignement dans les programmes scolaires mais aussi par les médias en luttant activement contre la désinformation.

Publié le 17/12/2024 - 15h50

• Le déploiement d’une communication pédagogique adaptée (guides, infographies, etc.).

• L’organisation d’évènements thématiques autour de l’adaptation 1 an après la sortie du plan puis à chaque date anniversaire du plan.

Former et protéger la population - Intégrer un enseignement sur l'innovation dès la maternelle. - Prendre en compte les impacts collatéraux des innovations [ex. usure prématurée des pneumatiques liée à l’évolution de la nature des revêtements routiers à plus faible impact environnemental] - Mettre en place des réglementations pour maîtriser l'influence des lobbys.

Publié le 17/12/2024 - 11h00

• La publication régulière de contenus sur le site « La France s’adapte - Vivre à +4°C » (site de la consultation) : articles, supports pédagogiques, etc.

• L’organisation d’évènements thématiques autour de l’adaptation à la suite de la publication du plan.

Publié le 16/12/2024 - 15h00

• L’organisation d’évènements thématiques autour de l’adaptation à la suite de la publication du plan.

• Autre (à préciser) : 

Depuis plusieurs siècles, nos ancêtres communs ont tous et toutes (ou presque car il y a toujours quelques irréductibles) participé à un but commun : limiter l'emprise du sauvage (habitat et donc indirectement espèces sauvage) afin d'augmenter les zones terrestres permettant les activités humaines : agriculture, urbanisation, réseaux routiers etc. Aujourd'hui, au départ de la phase de transition, il est capital et stratégique d'unir l'ensemble des acteurs et leurs dirigeants autour d'un objectif commun qui est de revenir sur ces mauvais aménagements qui étaient systématiques. Cela passe par l'arrêt des destructions d'habitats naturels (police), par la prise de conscience des acteurs et par des actions de travaux concrets. Suivant l'urgence et la gravité du problème, il est possible que le fait d'unir l'ensemble des acteurs soit impossible et trop tardif. La réglementation et l'autorité sera malheureusement une nécessité. L’atténuation des effets localement doit rapidement se matérialiser. En effet, par le passé, nous avons aménagé nos milieux aquatiques systématiquement en défaveur de notre résistance et résilience : recalibrage, rectification, déplacement lit mineur, implantation d’étangs en lieu et place de tourbières, assainissement de zones humides, pratiques agricoles forestières non adaptées, urbanisation en zone inondable d’autant plus sur les petits cours d’eau de moyenne montagne par facilité d’intervention. Ceci amplifie les effets du changement climatique par dérèglement des équilibres. Ces opérations qui peuvent remonter à plusieurs siècles nécessitent une expertise poussée afin de diagnostiquer ces modifications (ce qui passe par la formation, l’encadrement des agents et leur pérennité sur le territoire). Les inondations et les asséchements partiels de cours d’eau sont étroitement liés. Les solutions à privilégier sont la restauration des équilibres : érosion/dépôt et relation avec la nappe d’accompagnement (SAFN). Elles ne doivent pas être systématiques mais orientées sur des secteurs prioritaires ce qui passe par une connaissance optimale du territoire. Elles doivent être privilégiées sur les secteurs de tête de bassin pour des raisons de rapport entre coût financier et efficacité. Les équilibres restaurés en tête de bassin seront bénéfiques en aval car le réseau hydrographique reste le meilleur distributeur d’eau. L'action concrète par des experts en hydromorphologie doit être facilitée et privilégiée aux études de connaissances Attention, ces solutions quand elles sont employées approximativement, sans ambition technique, sans implication des acteurs locaux (social) sont néfastes car aux résultats partiels facilement soumis à la critique. Elles doivent être conduites par des experts de terrain locaux formés et encadrés, elles doivent être adaptées aux enjeux locaux et pas seulement écologique mais sociale et économique. La restauration écologique est une science, relativement récente, et doit être employée avec méthode et précaution sans systématisation de « recettes toutes faites » car ce qui est vrai sur un territoire ne l’est pas forcément sur un autre, c’est pourquoi seules les collectivités locales sont en capacité d’atteindre des résultats efficaces à moyen terme. Ne pouvant travailler seules, elles doivent être accompagnées par l’Etat qui doit leur témoigner de la confiance par l’attribution de moyens et par la diminution des démarches administratives notamment les dossiers loi sur l’eau parfois instruit par des agents moins compétents que les agents de la collectivité. La rubrique 3.3.5.0 est une avancée majeure à maintenir. Tous ensemble il est possible de le faire. Tous ensemble est impossible, il faut trouver un équilibre entre animation territoriale (collectivité) et réglementations appliquées (Etat). Chacun ses rôles et ses méthodes pour un maximum d’efficacité dans l’intérêt unique de notre pays et de ses habitants (activités comprises)

Publié le 15/12/2024 - 21h17

• Le déploiement d’une communication pédagogique adaptée (guides, infographies, etc.).