Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique
Mieux se protéger des inondations
Le nombre d’événements exceptionnels de pluies intenses augmentera ces prochaines années ainsi que le risque d’inondation, avec ses conséquences sur les biens et les risques pour les individus.
Pour faire face à ce risque, selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 07/12/2024 - 11h35
SBT
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[Comportements] : Développer la culture du risque pour préparer la population à faire face à l’évolution des risques naturels due au changement climatique.
L'éducation de la population par des exercices pratiques régulier me semble être une action intéressante.
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Publié le 07/12/2024 - 09h22
legero
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Action] : Prendre en compte le climat futur dans les programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) portés par les collectivités, notamment en revoyant les projets aidés.
Il me semble important de lutter contre artificialisation des sols pour permettre à l'eau de s'infiltrer et non de ruisseler.
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Publié le 06/12/2024 - 19h25
Tiop
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Action] : Prendre en compte le climat futur dans les programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) portés par les collectivités, notamment en revoyant les projets aidés.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Il n’y a pas d’analyse sur les inégalités sur cette conséquence. Pourtant, les ménages modestes et les groupes marginalisés sont plus durement touchés par les inondations également. Les 20% les plus riches sont plus adaptés aux inondations pluviales / fluviales que les 20% les plus pauvres en Europe. De plus, s’il semble essentiel que les documents permettant la lutte contre les inondations (PPRN ou plus largement PAPI) soient mis à jour de référentiels, il y a aussi un enjeu à repenser l’ensemble du territoire à l’aune des conséquences à venir. Or, on voit que la complexité administrative de gestion des inondations, et les faibles investissements ainsi que l’absence de référentiel jouent sur l’inertie palpable de nos politiques d’adaptation. De plus, le ZAN ne suffit pas à stopper l’artificialisation des sols. France Stratégie révèle notamment que sur la décennie passée, près de 39 000 ha pour l’habitat et 22 000 ha pour l’activité économique, soit 61 000 hectares — sur un total national de 230 940 ha consommés — auraient pu être économisés,141 soit l’équivalent de 84 000 terrains de football. C’est aussi l’équivalent de la superficie de Paris, Marseille, Toulouse, Strasbourg et Nice réunies. Il faut être plus ambitieux et contraindre, en offrant les moyens aux collectivités de prévenir de ces catastrophes, notamment dans la mise en place des PCAET. La réponse au risque d’inondation nécessite aussi de conjuguer des mesures de protection des immeubles et des opérations de « désimperméabilisation » des sols conduites à l’échelle des centres urbains, et lever les obstacles qui empêchent la mise en place de telles mesures, en prenant en compte, qu’à la fin, ce sont les personnes souffrant déjà d'inégalités qui sont surexposées. Enfin, la culture du risque doit infuser au sein des espaces pour faire connaître les conséquences auxquelles sont confrontés les citoyen·ne·s. Nous pensons que cela n’est pas suffisamment traité par l’Etat. Il y a des manques, y compris en Outre-mer, plus habitués que la métropole à des aléas extrêmes. Par exemple, aucun exercice de sensibilisation et d’information du public n’a, jusqu’à présent, été organisé en Nouvelle-Calédonie.
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Publié le 06/12/2024 - 17h37
Fabrice.antier
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Prévention individuelle] : Aider les particuliers à investir dans des dispositifs de protection individuels (batardeaux, barrières anti-inondations…).
L'aménagement du territoire est primordial, accompagné de l'aide aux collectivités et aux particuliers.
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Publié le 06/12/2024 - 16h43
Bruno728
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Action] : Prendre en compte le climat futur dans les programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) portés par les collectivités, notamment en revoyant les projets aidés.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Il n’y a pas d’analyse sur les inégalités sur cette conséquence. Pourtant, les ménages modestes et les groupes marginalisés sont plus durement touchés par les inondations également. Les 20% les plus riches sont plus adaptés aux inondations pluviales / fluviales que les 20% les plus pauvres en Europe. De plus, s’il semble essentiel que les documents permettant la lutte contre les inondations (PPRN ou plus largement PAPI) soient mis à jour de référentiels, il y a aussi un enjeu à repenser l’ensemble du territoire à l’aune des conséquences à venir. Or, on voit que la complexité administrative de gestion des inondations, et les faibles investissements ainsi que l’absence de référentiel jouent sur l’inertie palpable de nos politiques d’adaptation. De plus, le ZAN ne suffit pas à stopper l’artificialisation des sols. France Stratégie révèle notamment que sur la décennie passée, près de 39 000 ha pour l’habitat et 22 000 ha pour l’activité économique, soit 61 000 hectares — sur un total national de 230 940 ha consommés — auraient pu être économisés,141 soit l’équivalent de 84 000 terrains de football. C’est aussi l’équivalent de la superficie de Paris, Marseille, Toulouse, Strasbourg et Nice réunies.
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Publié le 06/12/2024 - 16h36
celine.bessonnier@laposte.net
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Comportements] : Développer la culture du risque pour préparer la population à faire face à l’évolution des risques naturels due au changement climatique.
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Publié le 06/12/2024 - 13h51
Meldc
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Action] : Prendre en compte le climat futur dans les programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) portés par les collectivités, notamment en revoyant les projets aidés.
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Publié le 06/12/2024 - 13h10
NBartholomé
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Action] : Prendre en compte le climat futur dans les programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) portés par les collectivités, notamment en revoyant les projets aidés.
Toutes les mesures ci-dessus doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Il n’y a pas d’analyse sur les inégalités sur cette conséquence. Pourtant, les ménages modestes et les groupes marginalisés sont plus durement touchés par les inondations également. Les 20% les plus riches sont plus adaptés aux inondations pluviales / fluviales que les 20% les plus pauvres en Europe. De plus, s’il semble essentiel que les documents permettant la lutte contre les inondations (PPRN ou plus largement PAPI) soient mis à jour de référentiels, il y a aussi un enjeu à repenser l’ensemble du territoire à l’aune des conséquences à venir. Or, on voit que la complexité administrative de gestion des inondations, et les faibles investissements ainsi que l’absence de référentiel jouent sur l’inertie palpable de nos politiques d’adaptation. De plus, le ZAN ne suffit pas à stopper l’artificialisation des sols. France Stratégie révèle notamment que sur la décennie passée, près de 39 000 ha pour l’habitat et 22 000 ha pour l’activité économique, soit 61 000 hectares — sur un total national de 230 940 ha consommés — auraient pu être économisés,141 soit l’équivalent de 84 000 terrains de football. C’est aussi l’équivalent de la superficie de Paris, Marseille, Toulouse, Strasbourg et Nice réunies
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Publié le 06/12/2024 - 11h29
Génin Anne
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Comportements] : Développer la culture du risque pour préparer la population à faire face à l’évolution des risques naturels due au changement climatique.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Il n’y a pas d’analyse sur les inégalités sur cette conséquence. Pourtant, les ménages modestes et les groupes marginalisés sont plus durement touchés par les inondations également. Les 20% les plus riches sont plus adaptés aux inondations pluviales / fluviales que les 20% les plus pauvres en Europe. De plus, s’il semble essentiel que les documents permettant la lutte contre les inondations (PPRN ou plus largement PAPI) soient mis à jour de référentiels, il y a aussi un enjeu à repenser l’ensemble du territoire à l’aune des conséquences à venir. Or, on voit que la complexité administrative de gestion des inondations, et les faibles investissements ainsi que l’absence de référentiel jouent sur l’inertie palpable de nos politiques d’adaptation. De plus, le ZAN ne suffit pas à stopper l’artificialisation des sols. France Stratégie révèle notamment que sur la décennie passée, près de 39 000 ha pour l’habitat et 22 000 ha pour l’activité économique, soit 61 000 hectares — sur un total national de 230 940 ha consommés — auraient pu être économisés,141 soit l’équivalent de 84 000 terrains de football. C’est aussi l’équivalent de la superficie de Paris, Marseille, Toulouse, Strasbourg et Nice réunies.Il faut être plus ambitieux et contraindre, en offrant les moyens aux collectivités de prévenir de ces catastrophes, notamment dans la mise en place des PCAET. La réponse au risque d’inondation nécessite aussi de conjuguer des mesures de protection des immeubles et des opérations de « désimperméabilisation » des sols conduites à l’échelle des centres urbains, et lever les obstacles qui empêchent la mise en place de telles mesures, en prenant en compte, qu’à la fin, ce sont les personnes souffrant déjà d'inégalités qui sont surexposées. Enfin, la culture du risque doit infuser au sein des espaces pour faire connaître les conséquences auxquelles sont confrontés les citoyen·ne·s. Nous pensons que cela n’est pas suffisamment traité par l’Etat. Il y a des manques, y compris en Outre-mer, plus habitués que la métropole à des aléas extrêmes. Par exemple, aucun exercice de sensibilisation et d’information du public n’a, jusqu’à présent, été organisé en Nouvelle-Calédonie.
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Publié le 06/12/2024 - 10h36
CharlottePapaveracees
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[Prévention collective] : Intégrer le climat futur dans la cartographie des risques d’inondation et revoir l’aménagement du territoire.
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[Action] : Prendre en compte le climat futur dans les programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI) portés par les collectivités, notamment en revoyant les projets aidés.
Toutes les mesures sont importantes, je pense que l'approche doit être systémique et non pas morcelée.
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