Axe 3 - Adapter les activités humaines : assurer la souveraineté alimentaire, économique et énergétique de notre pays à +4°C

Publié le 17/12/2024 - 15h35

• [Structuration des filières] Mobiliser les filières au sein du Conseil national de l’industrie pour faciliter l’appropriation des outils de l’adaptation, le partage d’expériences et définir les travaux à mener en commun au sein des filières.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

Protéger les salarié(e)s et les entreprises : - Pendant les périodes de canicule, décaler les horaires d‘activités (des entreprises mais aussi des services publics – dont écoles / collèges / lycées / Enseignement Supérieur – des commerçants ...) pour permettre de réduire au juste essentiel les activités aux heures les plus chaudes la journée (12h – 16h ?) ; avec des opérations pilotes à organiser dans des villes volontaires - Mettre en place une labélisation de la capacité des structures à résister aux épisodes de canicule (ex 1 à 5 « parasols ») - Dans les communes concernées, créer des espaces de co-working pour les salariés qui n’ont pas les conditions matérielles pour télétravailler depuis chez eux ; utilisables en période normale pour réduire les émissions de GES dans les transports et tout particulièrement pendant les périodes très chaudes ou très pluvieuses pour réduire les risques d’accidents - Former aux risques climatiques et aux bonnes pratiques pour s’en prémunir, afin d’impliquer tout le monde, depuis l’école jusqu’aux entreprises, en adaptant les formations à l’âge et à la région des participants.

Publié le 17/12/2024 - 10h55

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

Publié le 16/12/2024 - 19h52

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

L’économie française n’est pas préparée à faire face aux conséquences du changement climatique, qui sont pourtant déjà perceptibles. Les entreprises tardent à s’adapter, et ce sont les travailleur⸱euse⸱s les plus précaires, qui en subissent les premières conséquences. Un rapport d’Oxfam révèle que 36 % des travailleur⸱euse⸱s en France sont exposé⸱e⸱s à des risques liés à la chaleur, et les accidents mortels se multiplient. En 2023, la Direction Générale du Travail a recensé 11 accidents du travail mortels potentiellement liés à des vagues de chaleur. Or ce sont les professions les plus précaires, souvent exercées en extérieur ou dans des conditions difficiles, qui sont touchées en premier, exacerbant ainsi les inégalités. Par exemple, les secteurs de l’agriculture, du bâtiment ou du soin sont déjà gravement impactés. Ces chiffres soulignent l’urgence de repenser en profondeur le droit du travail afin de protéger efficacement tous les salariés face aux effets croissants du dérèglement climatique. L’aménagement des horaires est donc indispensable mais n’est qu’un premier pas, qui doit s’accompagner d’autres mesures d’adaptation dans le droit du travail. Dans ce contexte, l’État ne peut plus se permettre de continuer à financer ou subventionner des entreprises qui ignorent ces enjeux dans leur stratégie et qui ne prennent aucune mesure pour s’adapter. Non seulement ces entreprises risquent de disparaître à moyen terme, mais elles aggravent également la situation. Toutes les entreprises doivent être progressivement alignées avec la TRACC. Elles devront également prévenir tout risque d’accroissement de la vulnérabilité d’un territoire. Les aides publiques devraient donc être strictement conditionnées à des critères intégrant l’adaptation au changement climatique et la réduction des risques environnementaux. Cependant, des mesures complémentaires s’avèrent indispensables : l’obligation des plans d’adaptation pour toutes les entreprises, la structuration des filières…

Publié le 16/12/2024 - 10h58

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

L’économie française n’est pas préparée à faire face aux conséquences du changement climatique, qui sont pourtant déjà perceptibles. Les entreprises tardent à s’adapter, et ce sont les travailleur⸱euse⸱s les plus précaires, qui en subissent les premières conséquences. Un rapport d’Oxfam révèle que 36 % des travailleur⸱euse⸱s en France sont exposé⸱e⸱s à des risques liés à la chaleur, et les accidents mortels se multiplient. En 2023, la Direction Générale du Travail a recensé 11 accidents du travail mortels potentiellement liés à des vagues de chaleur. Or ce sont les professions les plus précaires, souvent exercées en extérieur ou dans des conditions difficiles, qui sont touchées en premier, exacerbant ainsi les inégalités. Par exemple, les secteurs de l’agriculture, du bâtiment ou du soin sont déjà gravement impactés. Ces chiffres soulignent l’urgence de repenser en profondeur le droit du travail afin de protéger efficacement tous les salariés face aux effets croissants du dérèglement climatique. L’aménagement des horaires est donc indispensable mais n’est qu’un premier pas, qui doit s’accompagner d’autres mesures d’adaptation dans le droit du travail. Dans ce contexte, l’État ne peut plus se permettre de continuer à financer ou subventionner des entreprises qui ignorent ces enjeux dans leur stratégie et qui ne prennent aucune mesure pour s’adapter. Non seulement ces entreprises risquent de disparaître à moyen terme, mais elles aggravent également la situation. Toutes les entreprises doivent être progressivement alignées avec la TRACC. Elles devront également prévenir tout risque d’accroissement de la vulnérabilité d’un territoire. Les aides publiques devraient donc être strictement conditionnées à des critères intégrant l’adaptation au changement climatique et la réduction des risques environnementaux. Cependant, des mesures complémentaires s’avèrent indispensables : l’obligation des plans d’adaptation pour toutes les entreprises, la structuration des filières…

Publié le 15/12/2024 - 21h09

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

L’économie française n’est pas préparée à faire face aux conséquences du changement climatique, qui sont pourtant déjà perceptibles. Les entreprises tardent à s’adapter, et ce sont les travailleur⸱euse⸱s les plus précaires, qui en subissent les premières conséquences. Un rapport d’Oxfam révèle que 36 % des travailleur⸱euse⸱s en France sont exposé⸱e⸱s à des risques liés à la chaleur, et les accidents mortels se multiplient. En 2023, la Direction Générale du Travail a recensé 11 accidents du travail mortels potentiellement liés à des vagues de chaleur. Or ce sont les professions les plus précaires, souvent exercées en extérieur ou dans des conditions difficiles, qui sont touchées en premier, exacerbant ainsi les inégalités. Par exemple, les secteurs de l’agriculture, du bâtiment ou du soin sont déjà gravement impactés. Ces chiffres soulignent l’urgence de repenser en profondeur le droit du travail afin de protéger efficacement tous les salariés face aux effets croissants du dérèglement climatique. L’aménagement des horaires est donc indispensable mais n’est qu’un premier pas, qui doit s’accompagner d’autres mesures d’adaptation dans le droit du travail. Dans ce contexte, l’État ne peut plus se permettre de continuer à financer ou subventionner des entreprises qui ignorent ces enjeux dans leur stratégie et qui ne prennent aucune mesure pour s’adapter. Non seulement ces entreprises risquent de disparaître à moyen terme, mais elles aggravent également la situation. Toutes les entreprises doivent être progressivement alignées avec la TRACC. Elles devront également prévenir tout risque d’accroissement de la vulnérabilité d’un territoire. Les aides publiques devraient donc être strictement conditionnées à des critères intégrant l’adaptation au changement climatique et la réduction des risques environnementaux. Cependant, des mesures complémentaires s’avèrent indispensables : l’obligation des plans d’adaptation pour toutes les entreprises, la structuration des filières...

Publié le 15/12/2024 - 20h09

• [Planification] : Instaurer progressivement l’obligation pour les entreprises stratégiques d’élaborer un plan d’adaptation afin de garantir la pérennité de leurs activités et investissements.

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

Publié le 15/12/2024 - 20h01

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

L’économie française n’est pas préparée à faire face aux conséquences du changement climatique, qui sont pourtant déjà perceptibles. Les entreprises tardent à s’adapter, et ce sont les travailleur⸱euse⸱s les plus précaires, qui en subissent les premières conséquences. Un rapport d’Oxfam révèle que 36 % des travailleur⸱euse⸱s en France sont exposé⸱e⸱s à des risques liés à la chaleur, et les accidents mortels se multiplient. En 2023, la Direction Générale du Travail a recensé 11 accidents du travail mortels potentiellement liés à des vagues de chaleur. Or ce sont les professions les plus précaires, souvent exercées en extérieur ou dans des conditions difficiles, qui sont touchées en premier, exacerbant ainsi les inégalités. Par exemple, les secteurs de l’agriculture, du bâtiment ou du soin sont déjà gravement impactés. Ces chiffres soulignent l’urgence de repenser en profondeur le droit du travail afin de protéger efficacement tous les salariés face aux effets croissants du dérèglement climatique. L’aménagement des horaires est donc indispensable mais n’est qu’un premier pas, qui doit s’accompagner d’autres mesures d’adaptation dans le droit du travail. Dans ce contexte, l’État ne peut plus se permettre de continuer à financer ou subventionner des entreprises qui ignorent ces enjeux dans leur stratégie et qui ne prennent aucune mesure pour s’adapter. Non seulement ces entreprises risquent de disparaître à moyen terme, mais elles aggravent également la situation. Toutes les entreprises doivent être progressivement alignées avec la TRACC. Elles devront également prévenir tout risque d’accroissement de la vulnérabilité d’un territoire. Les aides publiques devraient donc être strictement conditionnées à des critères intégrant l’adaptation au changement climatique et la réduction des risques environnementaux. Cependant, des mesures complémentaires s’avèrent indispensables : l’obligation des plans d’adaptation pour toutes les entreprises, la structuration des filières…

Publié le 15/12/2024 - 19h46

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

L’économie française n’est pas préparée à faire face aux conséquences du changement climatique, qui sont pourtant déjà perceptibles. Les entreprises tardent à s’adapter, et ce sont les travailleur⸱euse⸱s les plus précaires, qui en subissent les premières conséquences. Un rapport d’Oxfam révèle que 36 % des travailleur⸱euse⸱s en France sont exposé⸱e⸱s à des risques liés à la chaleur, et les accidents mortels se multiplient. En 2023, la Direction Générale du Travail a recensé 11 accidents du travail mortels potentiellement liés à des vagues de chaleur. Or ce sont les professions les plus précaires, souvent exercées en extérieur ou dans des conditions difficiles, qui sont touchées en premier, exacerbant ainsi les inégalités. Par exemple, les secteurs de l’agriculture, du bâtiment ou du soin sont déjà gravement impactés. Ces chiffres soulignent l’urgence de repenser en profondeur le droit du travail afin de protéger efficacement tous les salariés face aux effets croissants du dérèglement climatique. L’aménagement des horaires est donc indispensable mais n’est qu’un premier pas, qui doit s’accompagner d’autres mesures d’adaptation dans le droit du travail. Dans ce contexte, l’État ne peut plus se permettre de continuer à financer ou subventionner des entreprises qui ignorent ces enjeux dans leur stratégie et qui ne prennent aucune mesure pour s’adapter. Non seulement ces entreprises risquent de disparaître à moyen terme, mais elles aggravent également la situation. Toutes les entreprises doivent être progressivement alignées avec la TRACC. Elles devront également prévenir tout risque d’accroissement de la vulnérabilité d’un territoire. Les aides publiques devraient donc être strictement conditionnées à des critères intégrant l’adaptation au changement climatique et la réduction des risques environnementaux. Cependant, des mesures complémentaires s’avèrent indispensables : l’obligation des plans d’adaptation pour toutes les entreprises, la structuration des filières...

Publié le 15/12/2024 - 18h25

• [Numérique] : Assurer un recours massif des PME et TPE à la plateforme numérique Mission Transition écologique des entreprises qui vise à orienter les entreprises vers les dispositifs d’accompagnement appropriés et les conseiller sur les actions à mettre en œuvre.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

Publié le 14/12/2024 - 18h09

• [Financement] : Prendre en compte les enjeux d’adaptation dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises.

• [Aménagement horaires] : Promouvoir l’aménagement des horaires de travail ou l’évolution de certaines méthodes de travail face aux risques (notamment de fortes chaleurs).

L’économie française n’est pas préparée à faire face aux conséquences du changement climatique, qui sont pourtant déjà perceptibles. Les entreprises tardent à s’adapter, et ce sont les travailleur⸱euse⸱s les plus précaires, qui en subissent les premières conséquences. Un rapport d’Oxfam révèle que 36 % des travailleur⸱euse⸱s en France sont exposé⸱e⸱s à des risques liés à la chaleur, et les accidents mortels se multiplient. En 2023, la Direction Générale du Travail a recensé 11 accidents du travail mortels potentiellement liés à des vagues de chaleur. Or ce sont les professions les plus précaires, souvent exercées en extérieur ou dans des conditions difficiles, qui sont touchées en premier, exacerbant ainsi les inégalités. Par exemple, les secteurs de l’agriculture, du bâtiment ou du soin sont déjà gravement impactés. Ces chiffres soulignent l’urgence de repenser en profondeur le droit du travail afin de protéger efficacement tous les salariés face aux effets croissants du dérèglement climatique. L’aménagement des horaires est donc indispensable mais n’est qu’un premier pas, qui doit s’accompagner d’autres mesures d’adaptation dans le droit du travail. Dans ce contexte, l’État ne peut plus se permettre de continuer à financer ou subventionner des entreprises qui ignorent ces enjeux dans leur stratégie et qui ne prennent aucune mesure pour s’adapter. Non seulement ces entreprises risquent de disparaître à moyen terme, mais elles aggravent également la situation. Toutes les entreprises doivent être progressivement alignées avec la TRACC. Elles devront également prévenir tout risque d’accroissement de la vulnérabilité d’un territoire. Les aides publiques devraient donc être strictement conditionnées à des critères intégrant l’adaptation au changement climatique et la réduction des risques environnementaux. Cependant, des mesures complémentaires s’avèrent indispensables : l’obligation des plans d’adaptation pour toutes les entreprises, la structuration des filières…