Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique
Développer la culture du risque
Quels sont pour vous les outils de prévention et de sensibilisation à mettre en œuvre afin de développer une culture du risque qui permettrait de mobiliser l’ensemble de la société ? (Formations dans les écoles, ateliers de sensibilisation en entreprises, rencontres avec les professionnels du secteur, etc…)
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Passer à l'action
An
12/12/2024 - 08h09
En matière de formation, information et pédagogie, tout a déjà été fait . Il faut passer à l'acte
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Atteindre les personnes non sensibilisées
ageorges.celine@gmail.com
10/12/2024 - 17h16
Acculturer dès le plus jeune âge car les enfants sont les meilleurs ambassadeurs. Utiliser les réseaux sociaux en ciblant des profils qui n'ont pas d'affinité avec cette thématique. Inclure dans toutes formations un volet dédié Mettre en place un parcours civique (obligatoire ?) pouvant inclure cette thématique Identifier les freins de l'acceptation pour trouver les bons leviers
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Sensibiliser les enfants
cecile.hermille@gmail.com
10/12/2024 - 14h30
Ils sont notre avenir, il nous faut les sensibiliser à ce que la nature a de formidable mais aussi aux risques d'inondation, sécheresse, feux... resensibiliser aussi à l'entraide je pense car un jour eux aussi auront besoin d'aide c'est malheureusement quasi certain...
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Informer et former à la culture du risque
louise.hurtel
10/12/2024 - 13h42
Informations et formations obligatoires dans les écoles, dans les entreprises. Les professionnels du secteur et les organismes publics compétents doivent informer et diffuser une information à leurs clients et aux usagers. Il faut aussi pouvoir interdire les projets qui ne respectent pas ces principes de prévention. Dans certains cas, il faut mieux évacuer les populations, démolir et reconstruire ailleurs, là où les risques sont les plus forts. Établir une cartographie des lieux les plus à risques et mettre en oeuvre des politiques de réaménagement. Le coût financier étant élevé, il faut pourtant prévoir une "éco-participation" ou une taxe pour tous les projets qui pourraient être réaménagés pour ne plus être soumis aux risques ou d'atténuer ces risques. Avec le réchauffement climatique et l'emballement des phénomènes climatiques les plus violents, la facture sera tellement élevée qu'il nous sera impossible de tout rembourser. Il faut densifier et arrêter de construire là où les populations peuvent être vulnérables aux aléas climatiques.
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Culture du risque tous responsables
m'BAKA
09/12/2024 - 16h07
Il est urgent d’intensifier les sensibilisation dans les écoles dès le plus jeune âge pour permettre d’instaurer cette culture du risque durablement. Adapter nos programmes scolaires et inclure la culture du risque climatique notamment dans les écoles de commerce sous contrat avec l’état. Fin de sicle trois eme imposer comme le BSR un certificat citoyen et climat obligatoire pour tous les élèves comme le brevet des collèges.
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Informer les citoyens des risques encourus
cazenave.ajb@wanadoo.fr
09/12/2024 - 16h03
Ne pas autoriser de constructions dans les zones à risque. Prévoir des formations obligatoires, peut-être par commune, sur les comportements adaptés en prévision d'inondation. Mettre en place des systèmes d'alerte efficaces.
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Partager l'expérience des professionnels
DSN2024
09/12/2024 - 14h49
Les secours qui interviennent lors de ces événements climatiques intenses peuvent constater les comportements à risque et ceux qui sauvent. Partager leur expérience avec la population pourrait limiter le nombre de victimes et permettre aux secours d'être encore plus efficaces.
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S'appuyer sur les corps intermédiaires
Arnaud
09/12/2024 - 12h27
Impliquer les services de secours, de sécurité, les administrations communales, régionales, les écoles, collèges et lycées, les syndicats, les entreprises, les médias de presse, de radio-télévision ainsi que leurs réseaux sociaux. Imposer une fréquence de communications de sensibilisation permettant à tout citoyen d'y être confronté assez régulièrement.
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Plateforme numérique sur les polluants
Vincent
09/12/2024 - 08h28
Créer une plateforme numérique sur la diffusion dans l’air de polluants (produits phytosanitaires agricoles,……) sur la base de modélisations (sens et intensité du vent, potentiel de dispersion, spécificité et dangerosité du produit…) qui permettrait d’identifier les zones impactées. Cet outil serait déclaratif (horaire, spécificité et quantité de polluants utilisés,…) avec des autorisations ou non accordées pour l’activité polluante (suivant le contexte atmosphérique, urbain, social,…), et consultable par la population (zones ou horaires à plus ou moins de risques pour la santé,…)
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Avant tout stopper le réchauffement cela atténuera les risques!
bruno.busschaert@laposte.net
08/12/2024 - 16h25
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. L’impact sur la santé est sous-estimé. Que cela soit parce que nos infrastructures publiques de santé ne sont pas pensées pour faire face aux aléas climatiques extrêmes, mais également parce qu’elles ne sont pas [mot modéré]çues pour accueillir davantage de patient·e·s affecté·e·s par les aléas climatiques extrêmes. Notre système de santé va devoir faire face à l’arrivée de maladies vectorielles, associées à des vagues de chaleurs et davantage d'épisodes de pollutions de l’air, parfois en même temps. Le PNACC n’estime pas non plus les troubles psychologiques qui résultent des aléas climatiques extrêmes qui surviennent dans 20 à 50% des cas selon une étude de la CroixRouge. Santé Publique France documente également les troubles psychologiques associés. Cette absence de prise en compte va pénaliser davantage les personnes les plus exposées, telles que les personnes âgées, les femmes, les enfants. Aussi, les réponses proposées ne semblent pas adaptées à l’urgence. L’approche “une seule santé” est un bouquet de mesures qui renvoient à des actions déjà existantes, et le lancement d’une étude prospective comme seule mesure nouvelle est insuffisante au regard de l’action à mener et des intrications de ce secteur.
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