Axe 2 - Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels
Assurer la continuité de l’Ecole et de l’accueil des jeunes enfants dans un contexte de changement climatique
L’adaptation des écoles et crèches au changement climatique afin d’assurer la continuité de l’enseignement scolaire et de l’accueil des jeunes enfants est une nécessité.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 07/12/2024 - 21h13
Alice Croizé
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque. Lors d’événements climatiques réc
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Publié le 07/12/2024 - 18h30
Arnaud.Muthuon
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[Aller plus loin] : Etudier l’opportunité d’instaurer obligatoirement une pièce rafraîchie dans toutes les écoles.
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
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Publié le 06/12/2024 - 19h34
Tiop
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 06/12/2024 - 18h04
Fabrice.antier
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[Aller plus loin] : Etudier l’opportunité d’instaurer obligatoirement une pièce rafraîchie dans toutes les écoles.
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Prévenir pour modifier les infrastructures scolaires non préparées aux changements climatiques. Aller plus loin, avec des pièces rafraîchissant.
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Publié le 06/12/2024 - 17h10
Bruno728
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 06/12/2024 - 17h00
dreboul
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[Ressources] : Créer un centre de ressources documentaire destiné aux porteurs de projet de rénovation pour mettre à disposition notamment des cahiers des charges types, des guides de bonnes pratiques et autres recommandations, y compris en matière de confort d’été.
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Ne pas être pris au dépourvu et proposer des solutions
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Publié le 06/12/2024 - 16h55
celine.bessonnier@laposte.net
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
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Publié le 06/12/2024 - 14h50
NBartholomé
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes les ci-dessus mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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Publié le 06/12/2024 - 13h54
Meldc
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
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Publié le 06/12/2024 - 11h35
Génin Anne
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[Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).
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[Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.
Toutes ces mesures doivent être mises en œuvre. Il n’y a aucune raison de les mettre en compétition. Les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, en particulier les vagues de chaleur. Or les vagues de chaleur vont se multiplier dans les écoles, menaçant le droit des enfants à l’éducation. En effet, les périodes de canicule perturbent les services éducatifs, les calendriers scolaires, entraînent des retards dans les programmes et les performances cognitives des élèves sont réduites. D’ici 2030, 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles, inégalement réparties sur le territoire – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, selon un rapport d’Oxfam France. Les enfants les plus précaires sont doublement pénalisés puisqu’ils n’ont pas de moyen de se protéger des vagues de chaleur ni à l’école, ni à la maison. Il est donc urgent d’adapter le système éducatif français pour assurer le droit à l’éducation, de manière juste à tous les enfants. Il faut mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique mais également se préoccuper du bâti des écoles pour les adapter. Instaurer une pièce rafraîchie dans toutes les écoles n’est pas suffisant, il est également nécessaire d’investir dans la désimperméabilisation des cours d’école et la végétalisation des villes, qui sont des leviers indispensables à activer dans les prochaines années. Face à ce défi, le PNACC ne fixe aucun indicateur ni objectif qui permettrait au législateur de fixer le budget adéquat. Cela est dommage alors que le droit à l’éducation et à la santé des enfants et en jeu. De plus, aucune mesure de rénovation des écoles, en dehors de celles portées sur les bâtiments publics ne permet une analyse différenciée, alors que les enfants sont un public plus fragile et que tous les établissements ne sont pas égaux face au risque.
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