Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique

Publié le 22/12/2024 - 13h07

• [Marchés publics] : Accompagner les maitres d’ouvrages pour évaluer les SafN dans les marchés publics.

• [Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.

Publié le 21/12/2024 - 22h26

• [Marchés publics] : Accompagner les maitres d’ouvrages pour évaluer les SafN dans les marchés publics.

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

Le recours à la nature en ville pour atténuer les vagues de chaleur est un moyen très efficace et économique. Pourtant je ne vois pas grand chose bouger. Dans ma ville, Meudon, pas de plan global d'adaptation. Dans les copropriétés de Meudon la Forêt où j'habite on continue à élaguer consciencieusement comme il y a 50 ans, dans la mienne en particulier l’étanchéité des terrasses est à l'étude, aucune option de végétalisation n'est proposée. En général rien n'est fait pour réduire les surfaces imperméabilisées et permettre l'infiltration des eaux de pluie dans les sols. En résumé, on n'agit pas et on réagira pour parer au plus pressé quand les évènements nous y contraindrons. Il faut malheureusement des mesures contraignantes, exiger des collectivités territoriales des plans d'action d'ampleur et suivre leur exécution, adopter des mesures pénalisantes en cas ce nos respect des plans. Planter des arbres, demander à la nature de nous aider n'est pas coûteux, encore faut-il le faire. Je ne vois malheureusement pas la majorité de nos élus prendre conscience de l'urgence. Les arbres poussent lentement, il est d'autant plus urgent d'en planter et pour ceux qui sont là des les laisser s'épanouir.

Publié le 21/12/2024 - 14h19

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

• [Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.

Les solutions fondées sur la nature, comme le rétablissement de zones humides, la végétalisation et la renaturation, sont des solutions évidentes qu’il faut généraliser et étudier pour chaque territoire. Elles permettent à la fois de réduire les risques liés aux conséquences (chaleurs, inondations, submersions, feux de forêts, sécheresses) et présentent des co-bénéfices évidents. Il faut donc mettre en place des financements pour faciliter leur déploiement, mais également mobiliser la recherche, car une solution qui n’est pas pensée pour un endroit spécifique peut devenir une maladaptation et il y a besoin d’une expertise pour le déterminer.

Publié le 20/12/2024 - 17h13

• [Etudes comparatives] : Mener des études socio-économiques pour démontrer l’intérêt des SafN par rapport à d’autres solutions (solutions dites « grises » comme les digues, barrages, revêtements de sols, etc.).

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

Mieux informer voir former les décideurs, accroître les financements pour rendre plus attractives les solutions fondées sur la nature, et plus mobiliser la recherche pour accroître leur pertinence doit être tout à fait prioritaire.

Publié le 20/12/2024 - 17h09

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

• [Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.

Les solutions fondées sur la nature, comme le rétablissement de zones humides, la végétalisation et la renaturation sont des solutions évidentes qu’il faut généraliser et étudier pour chaque territoire. Elles permettent à la fois de réduire les risques liés aux conséquences (chaleurs, inondations, submersions, feux de forêts, sécheresses) et présentent des co bénéfices évidents. Il faut donc mettre en place des financements pour faciliter leur déploiement, mais également mobiliser la recherche, car une solution qui n’est pas pensée pour un endroit spécifique peut devenir une maladaptation et il y a besoin d’une expertise pour le déterminer.

Publié le 20/12/2024 - 14h34

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

• [Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.

Les solutions fondées sur la nature, comme le rétablissement de zones humides, la végétalisation et la renaturation sont des solutions évidentes qu’il faut généraliser et étudier pour chaque territoire. Elles permettent à la fois de réduire les risques liés aux conséquences (chaleurs, inondations, submersions, feux de forêts, sécheresses) et présentent des co bénéfices évidents. Il faut donc mettre en place des financements pour faciliter leur déploiement, mais également mobiliser la recherche, car une solution qui n’est pas pensée pour un endroit spécifique peut devenir une maladaptation et il y a besoin d’une expertise pour le déterminer.

Publié le 19/12/2024 - 20h37

• [Diffuser les connaissances] : Diffuser aux collectivités et aux filières économiques les connaissances liées aux SafN.

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

Au-delà de la communication et d'éventuelles études, le financement de ces solutions reste le meilleur moyen de les développer. Afin de les implanter localement sur le terrain, leur promotion auprès des collectivités et filières économiques est également intéressant.

Publié le 19/12/2024 - 19h38

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

• [Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.

Les solutions fondées sur la nature, comme le rétablissement de zones humides, la végétalisation et la renaturation sont des solutions évidentes qu’il faut généraliser et étudier pour chaque territoire. Elles permettent à la fois de réduire les risques liés aux conséquences (chaleurs, inondations, submersions, feux de forêts, sécheresses) et présentent des co bénéfices évidents. Il faut donc mettre en place des financements pour faciliter leur déploiement, mais également mobiliser la recherche, car une solution qui n’est pas pensée pour un endroit spécifique peut devenir une maladaptation et il y a besoin d’une expertise pour le déterminer

Publié le 18/12/2024 - 16h15

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

• [Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.

Certaines Safn rendent de multiples services dans une logique d'adaptation aux changements climatiques. En relation étroite avec le 4ème Plan National Milieux Humides (2022-2026); la Stratégie Nationale Biodiversité 2030 et la Stratégie Nationale Bas Carbone, deux SAFN pourraient faire l'objet de financement accru et d'effort de la recherche visant à mieux caractériser et quantifier certains services rendus. Il s'agit notamment de la restauration de zones humides et du maintien de l'élevage extensif herbager (en zones humides mais pas uniquement). Des efforts de recherche sur la quantification de l'eau stocké dans les zones humides restaurées, sur l'épuration améliorant la qualité de l'eau ou le stockage de carbone pourraient être massifiés. De même, pour l'élevage extensif en milieux humides, des analyses multicritères systémiques permettraient de mieux comprendre les multiples services rendus par cette forme ancestrale d'agroécologie, dans l'optique de soutenir ce type d'élevage.

Publié le 18/12/2024 - 16h08

• [Etudes comparatives] : Mener des études socio-économiques pour démontrer l’intérêt des SafN par rapport à d’autres solutions (solutions dites « grises » comme les digues, barrages, revêtements de sols, etc.).

• [Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.

Pour développer les solutions fondées sur la nature, il est d'abord nécessaire que celles-ci soient mieux connues des décideurs. A ce titre, il est essentiel de produire des études comparatives sur l'impact des SafN comparées aux infrastructures grises pour souligner l'intérêt des infrastructures vertes. L'Unep a produit une étude comparant l'impact des infrastructures vertes et grise (coût économique mais également aménités environnementales, impact sur la santé...). Elle est sur le point de publier un outil d'aide à la décision destiné aux décideurs publics pour éclairer leur choix au regard de leurs objectifs. A ce titre, il est essentiel de pouvoir chiffrer les externalités positives des solutions fondées sur la nature. En effet, les décideurs peuvent identifier les coûts liés à la création et à l'exploitation des SafN, mais ils ont moins d'information sur les économies réalisées par d'autres acteurs grâce aux infrastructures vertes (diminution des dépenses de santé, réduction du risque climatique, résilience des infrastructures, valorisation des biens immobiliers). Dans un contexte d'urgence climatique, face à la nécessité de trouver des financements pour s'adapter à un scénario à + 4°C, il est nécessaire de trouver des financements pour ces solutions. Les crédits biodiversité pourraient notamment être utilisés. Il s'agirait d'un système de cotisation volontaire permettant à des acteurs publics et privés d'abonder un fond de restauration de la biodiversité. Ce fonds permettrait de financer des projets de SafN. Les acteurs privés auront notamment intérêt à abonder ce types de fonds dans le cadre de leur politique RSE, et afin d'améliorer leur bilan extra-financier. Le contexte actuel est favorable pour développer ce type de solution, avec l'obligation pour les entreprises de publier leur bilan extra-financier et la prise en compte de ce dernier par les acteurs financiers et les assurances.