Publié le 03/12/2024 - 09h24
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[Réaliser un plan d’adaptation par filière et par territoire] : Accompagner les démarches d'adaptation au changement climatique des filières dans une approche intégrée afin de construire un système alimentaire compétitif, durable et résilient.
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[Usage de l’eau] : Adapter les productions agricoles et renforcer leur résilience face au risque de raréfaction de l’eau.
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[Anticiper] : Renforcer la diversité des semences pour adapter les productions agricoles et renforcer leur résilience face au changement climatique.
bonjour à tous, il serait temps de remettre du bon sens au milieu du débat, arrêtons ce système intensif & aveugle de cette agriculture industrielle basée sur les énergies fossiles, au détriment de notre environnement ET de la santé des agriculteurs! diversifions les cultures en les adaptant à chaque terre, dans un cycle "naturel" de réutilisations réapprenons les techniques de culture, sans cette normalisation abusive et ses objectifs uniques de rentabilité : on ne traite pas nos champs comme on construit une autoroute, au bulldozer! avec en lien bien sûr avec la consommation de ce que nous mangeons! notre monde est un ensemble de relations, nous ne pouvons pas isoler l'une d'entre elles pour la traiter, mais au contraire avoir une approche plus globale ici, l'environnement, l'agriculture, qui nous permet de vivre à partir de lui, sont en relation avec notre manière de consommer: il serait intéressant de faire comprendre le "coût" des aliments que nous mangeons ainsi, diminuer la part de viande de nos assiettes permettrait de réduire la surface des terres cultivées pour le maïs (dédié à l'élevage) si consommateur d'eau irriguée! sur ce thème des aliments, il ne faut pas oublier qu'ils sont notre premier "médicament" mais leur valeur nutritive est en baisse, réapprenons ainsi à mieux manger, un équilibre à retrouver, avec si possible des aliments de meilleure qualité, la quantité c'est bien, mais la qualité n'est pas à négliger... une autre relation, qui pèse beaucoup, est la financiarisation des produits agricoles, qui exacerbe les fluctuations des prix une entreprise en général est à même de fixer le prix de son produit, un agriculteur, non, il est soumis à un prix déjà établi, et en général pour lui, assez bas, ce qui l'oblige à démultiplier son travail pour gagner de l'argent. Et donc plus de terres, plus de pétrole pour ses tracteurs, ... et plus de prêts bancaires pour financer cette fuite en avant! au final, acceptons de payer un peu plus cher nos aliments, pour aider les agriculteurs et nous mêmes à mieux vivre.
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