Intégrer plutôt la culture de la prévention des risques

La prévention des risques est préférable à la gestion des risques, une fois la catastrophe arrivée. Prévenir l'érosion des sols, le déboisement, le réchauffement climatique, les pandémies, l'usure des sols, la déforestation ici et dans le monde, les maladies chroniques qui nous affaiblissent devant les pics de chaleur, l'extinction d'espèces animales et végétales, le gaspillage d'eau douce, etc, se fait en un simple geste 3 fois par jour : ne mettre dans son assiette que ce qui a poussé dans la terre. L'alimentation végétale reste le levier le plus puissant pour combattre le réchauffement climatique.