Axe 1 - Protéger la population des effets du changement climatique
S’adapter au changement climatique en s’aidant de la nature
Les solutions d’adaptation fondées sur la nature (SafN), comme l’agroécologie ou la végétalisation des villes, sont des actions visant à protéger, conserver, restaurer, utiliser et gérer de manière durable les écosystèmes. Elles sont efficaces contre les risques naturels et sanitaires et favorables à la biodiversité. Le PNACC propose de développer le recours à ces solutions.
Pour cela, selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

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Publié le 20/11/2024 - 18h08
AG24440
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[Diffuser les connaissances] : Diffuser aux collectivités et aux filières économiques les connaissances liées aux SafN.
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[Communiquer] : Développer des campagnes de communication grand public incluant les liens entre climat, biodiversité et santé et le rôle des SafN.
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Publié le 20/11/2024 - 11h34
leaso
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[Recherche] : Demander au secteur de la recherche de se mobiliser en faveur des SafN.
Les scientifiques ne devraient pas "se mobiliser en faveur de" mais justement réaliser des recherches objectives pour décrire les avantages et inconvénients factuels de ces actions.
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Publié le 20/11/2024 - 00h29
Frisou
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[Etudes comparatives] : Mener des études socio-économiques pour démontrer l’intérêt des SafN par rapport à d’autres solutions (solutions dites « grises » comme les digues, barrages, revêtements de sols, etc.).
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[Marchés publics] : Accompagner les maitres d’ouvrages pour évaluer les SafN dans les marchés publics.
Apporter les rendus écosystèmiques en comparatifs des aménagements actuels comme : -La capacité d’une zone humide à stocker l’eau et les coûts d’indemnisation d’une crue dans une une commune équivalent habitants -des marchés publics à tourner vers le local avec la notion de retour sur investissement par les économies générées grâce aux Safn. Redonner du sens à la recherche par l’observation de la nature comme par exemple l’OFB, l’INRAE, IFREMER, ADEME, les naturalistes, les scientifiques : Observons le vivant et ses stratégies d’adaptation à la vie afin que les êtres humains puissent s’adapter au changement climatique par des méthodes, des techniques, des matières issue r de la nature Travailler avec les compagnies d’assurances qui peuvent financer des SAFN où cela coûtera forcément moins chers que des remboursements en millards d’Euros.
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Publié le 18/11/2024 - 10h21
svtphile
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[Diffuser les connaissances] : Diffuser aux collectivités et aux filières économiques les connaissances liées aux SafN.
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[Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.
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Publié le 17/11/2024 - 15h26
Corentin DCDV
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[Marchés publics] : Accompagner les maitres d’ouvrages pour évaluer les SafN dans les marchés publics.
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[Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.
Nous devons surtout arreter de dégrader les écosystèmes, et accepter que nous ne pouvons pas tout gérer
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Publié le 17/11/2024 - 08h31
JLSTRAUSS
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[Etudes comparatives] : Mener des études socio-économiques pour démontrer l’intérêt des SafN par rapport à d’autres solutions (solutions dites « grises » comme les digues, barrages, revêtements de sols, etc.).
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[Communiquer] : Développer des campagnes de communication grand public incluant les liens entre climat, biodiversité et santé et le rôle des SafN.
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Publié le 17/11/2024 - 00h39
Rahlf
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[Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.
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[Mobiliser] : Mettre en place une animation nationale et régionale sur les SafN pour mobiliser tous les acteurs de la société.
L’heure n’est plus ni aux études, ni à la diffusion, ni aux évaluations, à la communication ou aux demandes. Il y a urgence de changer de paradigme en se posant la question de notre but : laisserons-nous à nos enfants une planète habitable ou la détruirons nous avec nous ? L’heure est donc à la mobilisation générale et aux financement de cette mobilisation. («Nous sommes en guerre »… contre le Vivant et depuis bien trop longtemps pour que cela dure. D’autant plus que prévoir une augmentation moyenne de 4° équivaut à des pics de chaleur de + de 50°… Qui y résistera ?? Celles et ceux dont la climatisation fonctionnera encore ?
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Publié le 16/11/2024 - 16h08
Shingaï
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[Etudes comparatives] : Mener des études socio-économiques pour démontrer l’intérêt des SafN par rapport à d’autres solutions (solutions dites « grises » comme les digues, barrages, revêtements de sols, etc.).
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[Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.
"protéger, conserver, restaurer, utiliser et gérer de manière durable les écosystèmes." comme noté dans le texte en préambule pose question, car gérer les écosystèmes n'est pas un terme qui convient. Le problème majeur est que l'humain veut tout régir, et pour ce qui est des écosystèmes naturels (un ensemble formé par une communauté d'êtres vivants en interaction avec leur environnement), nul besoin de gestion par l'homme, sinon que de provoquer leur dégradation. Respecter et préserver de la dégradation est ce qui doit être fait, ni plus ni moins. De plus croire que "l'être humain" va pouvoir s'adapter à + 4° est une chimère qu'on doit bannir de nos pensées. C'est impossible ! Quid de la biodiversité ? Les espèces endémiques, déjà en fort déclin du fait du réchauffement ne peuvent pas s'adapter, croire le contraire est pour le moins faire preuve d'un irréalisme primaire, d'un jugement erroné, et d'une absence de conscience claire des risques. Persister à croire que l'on vit dans un monde qui n'est plus est promesse du pire, et c'est bien le pire, qui a déjà commencé, auquel il faut se préparer et non pas s'auto persuader que le meilleur est devant nous ! Les Plans d'Urbanisme ou d'Aménagement, pour un très grand nombre, sont des projets qui datent d'au moins 10 ans, quand ce n'est pas 30 ou 40 ans ! Ils n'ont plus lieu d'être car non adaptés. Les nouveaux ne valent guère mieux ! A l'évidence, les élus et urbanistes ne prennent pas la mesure de ce qui est en cours. L'artificialisation ; la bétonisation ; les bâtiments construits à la va vite, plein de vices et malfaçons ; les permis de construire autorisés n'importe où ; les arbres matures sains abattus en très grand nombre (dans les villes particulièrement) ; les pollutions (sols, air, eau,bruit, lumineuse, des corps humains et autres) partout ; ne sont pas des problèmes véritablement pris en compte afin que les +4° ne soient pas, in fine, la catastrophe cataclysmique irrépressible provoquée par l'homme, qui préfère "faire l'autruche" et remettre au lendemain ce qui doit être fait le jour même. A force d'attendre, de fermer les yeux, de ne pas vouloir admettre ses erreurs ni de changer de modèle de pensée, en s'obstinant à promouvoir ce qui est la cause même de ce réchauffement, l'attitude est tout à fait suicidaire. C'est malheureusement ce à quoi on assiste ! Les discours, les concertations, les réunions publiques, les enquêtes publiques, ne sont, pour le coup, qu’un outil de com qui ne satisfait que ceux qui préfèrent que les choses restent en l'état. Mais pour combien de temps ? Gouverner c'est prévoir, et pour cela les gouvernants doivent s'appuyer sur de vrais experts capables d'anticiper et prévenir les risques encourus. Ce à quoi s'emploient les scientifiques spécialistes du climat au niveau mondial, et leurs prévisions s'avèrent justes. Mais, les événements climatiques extrêmes surviennent encore plus rapidement qu'ils ne l'ont envisagé, et sont d'une ampleur, d'une capacité de destruction, et d'une fréquence plus grandes encore que prévu, et cela les surprend. Comment est-ce même possible que toutes les personnes "en responsabilité" n'aient l'intelligence de les écouter, et d'agir en mettant en œuvre leurs recommandations ? A quels esclavages se sont-elles abaissées pour laisser faire, sans courage pour faire face, en continuant comme si de rien n'était ? Ce ne sont pas quelques "forêts urbaines", quelques "espaces verts" bien entretenus, et autres lubies, preuve que leurs concepteurs font état d'une méconnaissance de ce qu'est la vie des espèces non domestiquées et/où d'une grande faiblesse ou déficience intellectuelle. La "nature" comme on se plaît à définir l’ensemble des espèces composant l'environnement naturel, dans nos contrées prétendument civilisées, n'est pas un simple décor, mais c'est pourtant ainsi que nombre d'organismes concepteurs de projets, d'élus, de promoteurs, etc, la considère. Elle n'est pas non plus une variable d'ajustement, ni un "lieu" peuplé de marchandises où l'on peut faire son marché et s'enrichir en y puisant indéfiniment. Certains ont instillé dans les cerveaux de nombreuses personnes que les ressources naturelles sont infinies et qu'on peut détruire l'environnement sans qu'il n'y ait de retombées sur ceux-là même qui se servent à n'en plus finir ! C'est une doctrine fondée sur l’absence de raison, et l'humain en étant doté (ou pas) serait avisé de s'en servir, car les animaux eux-mêmes savent mettre en place des stratagèmes, pour un très grand nombre, afin de ne pas détruire les ressources vitales ! Se prendre pour le maître du monde et de l'univers relève d'un déni de réalité qui nous a mené là où sommes : faire face au plus grand danger auquel l'humain est confronté, et ce en grande partie à cause de l'orgueil surdimensionné de certains. Se leurrer en pensant que tous les problèmes pourraient trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles est typique d'un déni de conformité à la vérité : sans tous les écosystèmes sauvages la vie humaine ne peut pas subsister sur terre. Les solutions pour ne pas atteindre les + 4° sont celles à privilégier, il y en a une multitude. Pour cela, il s'avère nécessaire de cesser de plébisciter un modèle où les gens sont de plus en plus décérébrés, abreuvés de médiocrité, d'injonctions à la consommation non stop, incapables de penser par eux-mêmes vampirisés qu'ils sont par leurs téléphones débilitants, et de ne vouloir déplaire aux potentiels électeurs, consommateurs, et à tous ceux que l'on a conditionné à n'être plus que des personnes soumises à toujours moins d'élévation et plus d'abaissement, les conduisant à l'état de "zombies" tellement pris dans le tourbillon infernal de la "vie moderne" qu'ils ne trouvent comme palliatif à leur misère intérieure que de s’enivrer en fuyant via les addictions, dans des "paradis artificiels, pour ne jamais être en prise avec la terrible réalité du monde en train de s'écrouler en totalité !
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Publié le 16/11/2024 - 15h47
Aipelin
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[Diffuser les connaissances] : Diffuser aux collectivités et aux filières économiques les connaissances liées aux SafN.
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[Financer] : Mobiliser davantage les financements publics et privés en faveur des SafN.
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Publié le 16/11/2024 - 08h58
maudtoul
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[Diffuser les connaissances] : Diffuser aux collectivités et aux filières économiques les connaissances liées aux SafN.
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[Mobiliser] : Mettre en place une animation nationale et régionale sur les SafN pour mobiliser tous les acteurs de la société.
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