Publié le 31/10/2024 - 11h06

• [Continuité pédagogique] : Mieux intégrer la question des fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique (modalités d’adaptation possibles des rythmes scolaires et des examens en périodes de fortes chaleurs).

• [Prévenir] : Recenser à l’échelle de chaque préfecture les établissements scolaires particulièrement menacés par le recul du trait de côte, la montée des eaux, les inondations ou d’autres risques climatiques extrêmes et agir en priorité sur ces établissements.

L'idée d'une pièce fraiche dans chaque école est séduisante, mais la tournure "pièce rafraîchie" signifie un recours à un climatiseur, qui ne fera qu'aggraver l'augmentation de température aux abords des écoles. On pourrait y voir une mauvaise adaptation, sauf à utiliser un réseau de froid, ce qui est plus contraignant qu'un simple climatiseur. Instaurer une pièce "naturellement fraîche" serait plus contraignant mais pourrait être imaginé dans un contexte de rénovation globale (isolant à fort déphasage, protections solaires, patio pour apporter de la fraicheur par la végétation...). Intégrer les fortes chaleurs dans les plans de continuité pédagogique et recenser les établissements vulnérables semblent plus réalisables à court terme.