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Publié le 27/10/2024 - 19h15

florentpirot

  • [Prévention] : Associer les différents professionnels de santé pour qu’ils luttent contre les espèces porteuses de risques (moustiques tigres, punaises de lit, ambroisie, chenilles processionnaires, etc.).

Mon premier article peer-reviewé sur le climat https://pubs.sciepub.com/ijp/7/4/3/index.html évoque des effets sanitaires du changement climatique dans le cadre d'impacts de cyclones sur des centrales nucléaires non sous-critiques. L'importance des produits chimiques dans la lutte contre les espèces invasives ne doit pas être sous-estimée. Une société qui a pris l'habitude, peut-être par sismondisme latent, de condamner l'usage des produits chimiques (symbole du capitalisme souvent étranger...) n'est victime que de sa propre idiotie lorsque les espèces invasives et les maladies qu'elles portent y prolifèrent. Est-ce sous la menace de la privatisation qu'une émission sur France 2 a mis finalement récemment en avant l'importance des produits chimiques pour lutter contre les moustiques, évoquant notamment la dengue ? Bien sûr les produits chimiques doivent être maniés avec les précautions d'usage. Il existe des canaux chimiques dans le cerveau et le corps qui rendent de nombreux produits chimiques capables d'être les vecteurs de la pénétration des nanoparticules émettrices alpha à l'intérieur de la barrière hémato-encéphalique (par exemple). Ce sont les nanoparticules émettrices alpha qui causent alors les dommages physiques expliquant des maladies comme l'asthme, la bronchite chronique ou la maladie de Parkinson. (Cela fonctionne comme le sel, dans cet article peer-reviewé https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7819541/ ) Il est bien sûr évident qu'il faut sensibiliser le public à l'importance de lutter contre les bassins de reproduction des moustiques. La ré-autorisation encadrée du DDT permettrait sans doute de réduire les risques.