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Publié le 04/11/2024 - 14h35

brigitte.remi@wanadoo.fr

  • [Connaître] : Cartographier les risques pour la santé humaine liés aux impacts du changement climatique (ex. impacts immédiats et différés des incendies de végétation, des épisodes de sécheresses et d’inondations, impacts des évolutions environnementales sur la santé mentale, éco-anxiété, etc.).

  • [Former les professionnels] : Encourager les actions de sensibilisation, d’éducation sanitaire et de communication sur les maladies infectieuses émergentes entre professionnels de santé humaine et animale.

Il faut cesser les messages culpabilisateurs qui n'ont pour effet que de souligner les échecs respectifs de l'éducation nationale (le corps enseignant est véritablement gangrené par des militants écologistes catastrophistes et culpabilisateurs) et de l'église catholique (qui court derrière les premiers cités pour essayer de répondre au besoin de transcendance exprimé par les nouveaux adorateurs de Gaïa et le nouvel animisme qui a pris sa place). L'important est de cesser le catastrophisme et de bien comprendre les enjeux : il est simplement aberrant qu'une ministre se réjouisse de 5,8% de baisse des émissions en France (0,7% des émissions mondiales) ? Pourquoi pas une commission d'enquête sur les faits suivants : Avec 40 milliards d'euros annuels d'argent public saupoudrés dans les "politiques climatiques", nous avons réussi à réduire de 23,4 MtCO2 les émissions de notre pays. Bravo ? 23,4 MtCO2 par rapport aux 40 milliards émis mondialement. Si on est optimiste, on peut penser que ces 40 milliards d'euros ont effectivement servi à cette baisse des émissions et que la tonne de céhodeux évitée par la France a coûté 18,80 euros. Les services publics comme la justice, la santé, l'éducation auraient sans doute fait un meilleur usage de cette manne, encore que j'aie un gros doute sur l'éducation vu le niveau des "élites" et de la "représentation nationale". Si on est observateur, on constate que l'argent public considéré comprend des milliards aux entreprises en compensation du coût que représente l'acquisition de "crédit carbone" sur le marché ETS du même métal (pourquoi ne pas tout simplement supprimer cette monstruosité bureaucratique ?) et, cerise sur le gâteau, la prime donnée aux acheteurs de Tesla nécessiteux (et aux ménages aisés qui achètent un VE comme second ou troisième véhicule), on s'interroge. Je me réjouis que l'on commence à parler d'adaptation. Je ne serai satisfait que quand on mettra fin au suicide de l'industrie en subventionnant les véhicules électriques et quand on cessera de financer des bêtises comme l'éolien et le solaire à fonds perdus au grand bénéfice de l'industrie chinoise. Ce n'est malheureusement pas encore le cas mais je souhaite que cela vienne avant que les dégâts sur l'économie ne soient irréparables.