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Publié le 04/11/2024 - 12h03

Syl

  • [Biodiversité nationale] : Réaliser un recensement régulier de la biodiversité nationale.

  • [Ecosystèmes glaciaires, périglaciaires et post-glaciaires] : Améliorer les connaissances scientifiques sur l’évolution des écosystèmes glaciaires, périglaciaires et post-glaciaires (c’est-à-dire qui se développent dans les zones apparaissant à la suite de la fonte des glaciers). 

Toutes les propositions actuelles sont importantes, je ne comprend pas le choix proposé. Il ne devrait pas y avoir de hiérarchie entre les différents milieux. Tous ont un rôle crucial : glaciers, cours d'eau, mers, zones humides, forêts, plaines, collines, montagnes, etc. La préservation de chaque écosystème est essentielle pour l’équilibre global. Sauvegarde des glaciers Les glaciers disparaissent progressivement, et il est impératif de mieux comprendre les conséquences de cette fonte, que ce soit pour les sols, les ressources en eau ou les écosystèmes dépendants. Peut-être étudier des solutions pour réduire leur fonte (mais je doute de la possibilité de ça) Suivi des écosystèmes et des espèces Il est crucial de surveiller chaque milieu et de recenser toutes les espèces qui y vivent, avec des indicateurs de suivi fiables. Ces indicateurs permettraient de savoir si une espèce est en augmentation ou en déclin, et d’évaluer si un écosystème est menacé. Les décisions et autorisation de peches/chasses devraient être fondées uniquement sur des observations factuelles de terrain, indépendamment des influences des lobbies de la chasse ou de la pêche. Régulation de la chasse et de la pêche Lorsqu’une espèce ne compte plus que quelques centaines d’individus, il n'est pas pertinent de continuer à la chasser ou à la pêcher. Une pause temporaire — de plusieurs mois, voire années — permettrait de régénérer les populations. Cette approche de conservation vise à protéger la biodiversité en se basant sur des données concrètes. Principe de base pour la protection des écosystèmes Pour chaque écosystème, la règle de décision devrait être simple : déterminer si une action a un impact positif, neutre ou négatif sur l’écosystème concerné. Si l'impact est positif, l'action doit être encouragée. Si l'impact est neutre, l'action peut être permise. Si l'impact est négatif, l'action ne doit pas être réalisée. Privilégier les intérêts écologiques aux intérêts à court terme Malheureusement, dans la réalité, la dernière option — celle d’éviter les actions nuisibles — est souvent ignorée. Les décisions privilégient trop souvent la rentabilité industrielle ou les avantages électoraux à court terme, plutôt que des projets bénéfiques sur le long terme.