Axe 2 - Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels
Assurer la résilience des transports face au changement climatique
Lors d’événements climatiques récents, la rupture d’axes de transport a montré l’ampleur des conséquences en termes de perturbation des circulations et de coûts de reconstruction. Les transports sont des services essentiels qu’il faut adapter aux effets du changement climatique.
Selon vous, parmi les actions suivantes, lesquelles devraient être priorisées ?

-
Publié le 09/12/2024 - 16h13
cazenave.ajb@wanadoo.fr
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 09/12/2024 - 15h48
Arnaud
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
Prioriser risque d'être contre-productif dans un domaine d'une telle ampleur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 09/12/2024 - 15h14
DSN2024
-
[Débattre] : Discuter localement du niveau de service attendu (acceptabilité d’interruptions temporaires et/ou de dégradation de service sur certaines infrastructures par exemple en cas d’inondations ou de fortes chaleurs, ou encore de tempêtes (submersion).
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
Définir les priorités avant de statuer sur les solutions techniques dont le coût pourra dépendre de la criticité de l'équipement.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 08/12/2024 - 16h36
bruno.busschaert@laposte.net
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 08/12/2024 - 14h00
Kro
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 08/12/2024 - 13h32
EmmaLaPerma
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 08/12/2024 - 09h24
Mas
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 07/12/2024 - 21h14
Alice Croizé
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 07/12/2024 - 18h31
Arnaud.Muthuon
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
Partager la page
Soutiens
-
-
Publié le 06/12/2024 - 19h35
Tiop
-
[Planifier] : Mettre à jour les référentiels techniques relatifs aux transports afin de ne plus construire une infrastructure de transport inadaptée au climat futur.
L’adaptation du secteur des transports au changement climatique est une priorité pour éviter la maladaptation et garantir une transition juste et durable. LDe nombreux projets actuels sont incompatibles avec les objectifs d’atténuation et ne seront pas viables face aux aléas climatiques futurs. En outre, le transport constitue un levier clé d’équité sociale : ne pas l’adapter risque d’aggraver les inégalités en limitant l’accès à des options de mobilité résilientes et accessibles à tous. Encourager des solutions inadaptées, comme favoriser l’usage de la voiture dans des villes comme Paris, où existent des réseaux de transport en commun largement accessibles et utilisés par la majorité de la population, va à l’encontre des objectifs de résilience et d’équité sociale. De telles politiques, qui servent les besoins d’une minorité, contribuent à l’artificialisation des sols, augmentant le risque d’inondation et accentuant l’effet des îlots de chaleur urbains. Il est donc essentiel de mettre fin à la construction d’infrastructures de transport incompatibles avec les besoins climatiques futurs et de privilégier des investissements durables. Cette transformation doit être pensée à plusieurs échelles : intégrer l’adaptation dans les opérations de maintenance et de modernisation des transports en commun au niveau communal, et du réseau ferroviaire au niveau régional. En parallèle, il est indispensable de renforcer la concertation avec les citoyens et les parties prenantes locales pour assurer une forte acceptabilité sociale des projets. L’adaptation du secteur des transports nécessitera des investissements massifs, estimés à plusieurs centaines de millions, voire des milliards d’euros par an, en fonction des résultats des études de vulnérabilité en cours et des choix d’adaptation retenus. Outre l’augmentation des financements, il est crucial de conditionner les subventions publiques à l’intégration des exigences climatiques futures dans tous les projets soutenus. Cela garantira des infrastructures capables de répondre aux défis du changement climatique tout en préservant l’équité sociale et environnementale.
Partager la page
Soutiens
-
Ajouter ma contribution
La participation est terminée